1. Marthe


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, inconnu, danser, amour, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, humour,

    ... le dos. Il me demande si je veux qu’il me prévienne avant d’éjaculer. Sans réfléchir, je lui dis que non. J’ai une folle envie de le lécher un peu partout et même ailleurs, mais on n’évacue pas quarante années de culpabilisation sur le sexe en une soirée. Je me mets à genoux entre ses cuisses et je prends délicatement le gland entre mes lèvres. Je passe la langue dessus, c’est merveilleusement lisse. — Stop ! Je fais un bond en arrière, toute coupable, bien sûr. Cet imbécile rit comme un âne. Ça rit, les ânes ? J’ai bien envie de le mordre. Qu’est-ce que c’est bon aussi, de rire. Je me remets à glander avec délectation… Je tourne un peu autour en faisant des petits bisous. Je le lape comme un petit chat. Je réalise tout à coup que ça ressemble à un joystick et j’échappe de peu au troisième fou-rire en pensant à la signification du mot joystick ! Sans rien brusquer, je fais pénétrer sa verge de plus en plus profondément dans ma bouche. C’est gros ! Mais je jette un coup d’œil à Étienne, attentif et souriant, qui se relève un peu pour me caresser les cheveux et me regarder. J’ai constaté tout à l’heure comme c’est excitant, de regarder. Je reprends un lent va-et-vient prudent, en lui caressant les couilles de ma main libre. Je sens sa tension qui monte régulièrement et je me prends à jouer en sortant de temps en temps son sexe de ma bouche et en le léchottant doucement. Puis je le reprends. Je ne sais pas s’il faut aspirer mais, quand je masturbais mon mari, ça fonctionnait ...
    ... bien sans pomper. Ça ne doit donc pas être utile. En essayant d’obtenir une « grande longueur en bouche » sans me mettre à rire, je m’étrangle à moitié, mais je commence à bien sentir la technique. Il m’accompagne doucement en ondulant du bassin. Il semble particulièrement apprécier lorsqu’il est bien profond dans ma bouche et que j’entortille ma langue autour de la hampe, et aussi les entrées et sorties du gland entre mes lèvres. J’expérimente avec jubilation. Je ralentis dès que je sens qu’il approche de l’orgasme, puis je repars tout doucement. Quel plaisir d’avoir un homme ainsi abandonné à moi en toute confiance. Tout d’un coup, je le sens se crisper, il pousse une sorte de feulement bas, et je reçois les giclées de sperme chaud et un peu fade dans ma bouche. La consistance est bizarre, mais le goût n’est pas désagréable. J’avale sans aucun dégoût, et en bonne ménagère je lui lèche bien délicatement et bien complètement le gland qui rétrécit à toute allure. Je suis très fière de moi ! Étienne m’attire à son côté et, emmêlés, nous échangeons un long baiser tendre (et spermeux). Bien que cette pipe m’ait à nouveau fortement excitée, je tombe instantanément dans les bras de Morphée qui passait par là. Lorsque je me réveille, Étienne dort également. Je vois qu’il est deux heures du matin. Il faut que je rentre chez moi, sinon ce sera trop dur demain pour partir en cours. Étienne propose de me raccompagner. Cette marche, enlacés dans la nuit froide et déserte, est un nouveau ...
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