1. Marthe


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, inconnu, danser, amour, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, humour,

    ... Je me sentais comme Milou, déchiré entre le devoir représenté par son chien-ange gardien et un magnifique os proposé par son chien-diable gardien. Mais bon, il ne cherchait pas trop à m’embrasser sur la bouche, donc tout allait bien. On s’est assis dans un coin, et quelqu’un a fait passer une cigarette roulée main. J’ai pensé que c’était une coutume autochtone. Moi, je n’avais jamais fumé, mon père nous empestant toute la journée avec ses clopes et sa pipe. Mais ce tabac anglais sentait vraiment bon, une odeur entêtante de foin brûlé, et pour ne pas trop paraître Bécassine, j’ai inhalé une grosse bouffée, non sans tousser, chaque fois que le pétard passait. Je commençais sérieusement à planer. Un petit refrain me courait dans la tête : « Les mains de Bert sur la peau de Marthe, les mains de Berthe sur la peau de Mart… » Un ou deux slows plus tard, j’étais émue, nom d’un petit bonhomme (pour pasticher l’ami Brassens), et, même si cette idée m’aurait paru absolument inimaginable deux heures avant, j’avais une envie irrésistible que Bert caresse ma peau plutôt que les étoffes qui me couvraient et me faisaient suer à tout point de vue. Comme les deux mains de Bert semblaient avoir le même objectif, nous avons dérivé vers une chambre très sombre. Sur le lit, il y avait un couple très peu habillé et très emmêlé, qui ne se préoccupait vraiment pas de nous. Dans un coin au fond de la chambre, un tapis moelleux nous tendait ses longs poils de laine. L’absence de lumière m’arrangeait ...
    ... bien, dans la mesure où je n’avais jamais laissé voir à personne la moindre parcelle de mon corps que je trouvais moche, et où, dans la nuit, le péché me paraissait moins visible. Et puis, au fond, ce tapis me permettait opportunément de ne pas être « au lit » avec un homme… Il m’a d’abord déshabillée en haut, du moins ouvert mon corsage et relevé mon soutien-gorge que j’avais obligeamment décroché. Là-haut sur mon petit nuage, j’avais un sacré vertige, et mon cœur battait plus fort que Big Ben en pleine forme ! Les mains de Bert sur mes seins m’hypnotisaient complètement. Leur fine peau sensible, subjuguée, les guettait, les écoutait la révéler, comme si elles avaient dévoilé une statue longtemps cachée. Mes seins auraient dansé au rythme de ses doigts toute la nuit. Mais, sans attendre la fin de la nuit, et même bien trop tôt, il a commencé à me caresser l’entrejambe, sans grande douceur. C’était un mélange de sensations nouvelles et géniales et de sensations très désagréables, comme un gâteau à la crème qui aurait été poivré et salé. Je l’ai laissé enlever ma culotte en me soulevant même un peu. J’avais un tourbillon dans la tête, dans un état second. C’était comme si mon corps n’avait jamais existé avant que ces mains courent dessus. J’aurais voulu qu’il m’enlève tous mes habits et qu’il continue à me caresser comme pendant les slows, mais il a enlevé son jean et son slip. C’est alors que dans la pénombre j’ai aperçu son sexe. Bien sûr, je n’en croyais pas mes yeux ! Je me ...
«1234...18»