1. Marthe


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, inconnu, danser, amour, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, humour,

    ... respecte la règle du jeu. Pour le trou du cul, je suis salement gênée, mais lui m’a lavée avec tant de naturel que je parviens à le faire sans chichis. Comme j’ai grandi en un jour, et ça continue ! L’essuyage est tout doux. Il y a de la caresse dans les gestes. Je le frôle autant que je peux. Mes tétons éraflent son torse, son dos. Son sexe, avec sa tête chercheuse, tapote mes fesses, effleure ma toison. J’aime nos corps nus dans la lumière. Moi un peu plus sombre, lui assez blanc sauf les bras, le cou, le visage… et sa bite. Il attrape le sèche-cheveux et me peigne dans le souffle chaud, son ventre tout près du mien. Après les cheveux, il s’occupe en riant de ma toison pubienne. La chaleur et la brosse douce sont un divin tourment. Résolument, je lui prends la main et l’entraîne vers mon lit où il feint de tomber tout du long sur le dos. Coïncidence, la nuit tombe également, et j’allume la lampe de chevet. Je n’ai plus peur de la lumière. Comment peut-on se caresser sans lumière ? Je suis bien. Toute nue dans mon nouveau corps tout neuf. Ça me rappelle quand j’avais dix ou douze ans, avec ma cousine, on avait nagé nues le soir à la nuit dans un lac jurassien. Cette sensation d’être un animal sauvage… L’eau fraîche qui te caresse tout du long et te touche partout… Je monte sur le lit et, avec un pied sur sa poitrine, je prends la pose de la terrasseuse de lions. Étienne me saisit les chevilles et me dit qu’il a envie que je caresse sa bouche avec les lèvres de mon sexe. Ça ...
    ... me paraît saugrenu, mais jusque-là tout ce qui m’a choquée m’a beaucoup plu, alors… Je me mets à genoux au-dessus de lui et, en m’appuyant sur le mur derrière sa tête, j’approche prudemment de sa bouche. La position est bizarre, sans être pénible. J’ai à la fois un sentiment de domination, un peu exhibitionniste, et jubilatoire, en toute sincérité, et peur aussi de lui faire mal. Ses mains sont venues à la rencontre de mes seins qui s’y réveillent en redressant leur petit nez sombre. Ma vulve expérimente sa bouche, sa langue, ses lèvres. Je peux suivre mon rythme et doser le contact. C’est vertigineux et doux. J’ondule doucement comme une algue souple. Je ferme les yeux pour mieux descendre dans mon ventre. Sa langue en érection est une merveille. Comment fait-il ? Il va prendre une crampe ! Sa main gauche est descendue sous ma fesse, et sa main droite est venue tenir compagnie à sa bouche. Ses doigts mouillés explorent mes lèvres, les ouvrent ou les resserrent sur sa langue, vont se promener sur mes fesses, vont et viennent. Je sens un doigt qui pénètre doucement dans mon vagin. Il glisse sans problème, va caresser ce petit coussin doux sur le devant, ressort, va caresser mon anus, s’écarte, parcourt les grandes lèvres. Sa langue lèche et mouille. Je suis cette fois totalement descendue dans mon sexe. Ma tête, là-haut, a un peu le vertige. Elle s’est appuyée au mur. Je suis attentive à la montée irrésistible du plaisir, j’ai oublié Étienne, je ne connais plus que cette bouche ...
«12...131415...18»