1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... fermais les yeux, ivre de plaisir, ne me rendant pas compte qu’on nous matait, ne se privant pas du spectacle de la témoin, nue, qui donnait du plaisir à la mariée : • Oh Christine, oui. Oh que c’est bon. N’arrêtes pas, continue. Oh que tu fais ça bien. J’adore ça, je t’aime ma chérie. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii C’est à ce moment-là que j’ai compris que nous avions des spectateurs, dont Philippe. Il avait donc réalisé une petite partie de son fantasme, en me voyant dans des ébats saphiques. Christine n’était nullement gênée, elle remit sa robe, m’embrassa fougueusement et se dirigea vers Philippe, tout en s’adressant à Pierre : • A toi de jouer, elle est prête ! Puis elle prit Philippe vers la main et sortit avec lui dans le parc. Pierre, lui, voulait en finir et m’entrainer vers la chambre de l’étage. Je le repoussais : « Non, je ne veux pas ! Laisse-moi tranquille ! » Les invités, qui avaient assisté à la scène, reprirent leurs danses. Je me dirigeais vers le parc où je vis un couple enlacé. Je m’approchais et je me rendis compte que ce couple, c’était Philippe et Christine. Ils s’embrassaient et je vis alors Christine sortir la verge de mon mari et la prendre en bouche. J’étais folle de rage. Je me dirigeais vers eux, j’envoyais une violente gifle à Philippe et je m’en pris à Christine, lui arrachant sa robe : • Sale pute, tu vas laisser mon homme tranquille ! Il est à moi et à personne d’autre ! J’étais dans une colère noire. Je rentrais dans la salle et ...
    ... je voyais Pierre, sur le point de partir, convaincu de son échec. • Tu m’accordes cette dernière danse ? Je lui alors offert mes lèvres, pour un long baiser. • Mets tes mains sur mes fesses, caresse-moi, plote moi, vas-y ne te gêne pas, que chacun sache que je suis à toi cette nuit et que je vais cocufier mon mari ! Les amis de Pierre l’encourageaient : • Enfin, vas-y, on pensait que tu avais perdu la main. Elle est à point ! D’autres ne cachaient pas leur indignation : • Quelle honte ! Ils ne vont quand même pas copuler ici Pierre leur répondit : • Non, ça doit se faire dans la chambre conjugale. Flavienne alla chercher Philippe, qui avait donné sa veste à Christine, laquelle était en string, sa robe étant déchirée. • Viens voir ton œuvre. Tu as ce que tu as tant voulu ! • Non, il ne l’aura pas. Ca se fera ce soir et ça ne se fera plus. Et en aucun cas tu n’assisteras. Tu pourras écouter à la porte. Tu en auras plein les oreilles. Sur ces paroles, j’entrainais Pierre vers la chambre. Dès que nous avions franchi le seuil, je le déshabillais et lui fit tomber ma robe. Sa bite était à la hauteur de ce que j’avais pu deviner toute la journée. Je voulais la branler, la sucer. Il m’interrompit. • Ah non, tu me fais bander depuis des heures. Pas besoin de caresses, de préliminaires. Je ne veux pas te faire l’amour, je veux te baiser, te saillir, te niquer comme une chienne. • Tu as raison, moi ça fait trois ans que j’attends de me faire mettre par un mâle. Prends-moi ! • Mets-toi à ...