Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... quatre pattes, je vais te mettre en levrette. • Oh oui c’est la position que je préfère ! • Il faut que tu le mérites. Chienne, réclame la saillie ! • Oui, Pierre, je t’en supplie, baise-moi ! • Tu veux cocufier Philippe, dis-le ! • Oui je veux que tout le monde sache que, dès la nuit de noces, j’ai été adultère. • Je te prends sans capote et je me viderai dans ton vagin. D’accord ? • Oh oui, je veux bien te sentir, je veux ta semence en moi ! • Je vais te la mettre bien au fond. Hum tu es trempée, bien ouverte. Tu me sens bien ? • Oh oui, que c’est bon. J’avais presqu’oublié, ça m’a tant manqué. Ses couilles tapaient sur mes fesses. Pierre me besognait sans ménagement et il était incroyablement résistant. Avec Gianni, mon premier amant, avec certains des hommes que j’ai connus ultérieurement lorsque j’ai enfin cédé au candaulisme de Philippe, il reste dans ma mémoire comme mon meilleur amant. Ma nuit de noces serait en effet inoubliable. • Couine, ma belle, Philippe doit être de l’autre côté de la porte, en train d’écouter, de se toucher. • Oh que c’est bon ! • Meilleur qu’avec lui ? • Rien à voir. Je ne prends pas mon pied avec sa queue ! • Tu devrais le remercier d’avoir voulu cela. Laisse entrer pour mater • Non, pas question. Je le punis parce qu’il s’est laissé toucher par une autre femme sans mon accord. Il est à moi ! Oh, je jouis !!!!!! • Je n’ai pas fini avec toi. Mets-toi sur le dos, je vais te prendre comme ça, pour pouvoir m’occuper de tes jolis seins et voir le ...
... plaisir monter sur ton visage. • Tu es très chaude, capable d’enchainer les orgasmes. Tu devrais écouter Philippe et faire ce qu’il désire tant • Non j’ai dit ce soir et après c’est terminé. J’enterre avec retard ma vie de jeune fille ! Et arrête de parler et saute-moi. Oh oui, que c’est bonnnnnnnnnnnnnnnn • Je vais me vider en toi. • Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Pierre avait une belle capacité de reprise et il me fit l’amour encore deux fois, en multipliant les positions, n’acceptant que de se vider que dans mon vagin. Puis il me donna un baiser sur le front et se rhabilla. Il avait joué son rôle, il m’avait baisé, il n’était pas question entre nous de sentiments et de tendresse. Il ouvrit la porte, derrière laquelle se trouvait Philippe. • Merci Pierre, tu as rendu Olga heureuse et moi aussi. • J’ai fait cela par amitié pour toi. Je pense qu’il est mieux qu’on ne se revoie pas pour le moment, car je ne veux pas détruire votre couple. Occupe-toi d’elle. Elle a maintenant besoin de tendresse, de l’amour de son mari. Philippe s’approcha du lit où j’étais recroquevillée. Je pleurais. Il me prit dans ses bras. • Tu m’en veux ? • Oui, parce que tu m’as poussée à faire ça. Non car j’ai eu un plaisir infini. C’était un merveilleux cadeau. Mais c’est toi que j’aime et je ne veux plus recommencer ça, je veux préserver notre couple. Viens et occupes-toi de moi. Je veux tes caresses, ta tendresse. Je veux que tu m’aimes, dans ce lit où j’ai été adultère. Commence par bien nettoyer ma chatte, ...