Retour aux sources
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
init,
... femme. Il reprend sa bouche, puis descend sur les seins. Elle adorait qu’il agace ses citrons. Maintenant il déguste des melons, mûrs à point. Il débute comme par le passé, par des gestes doux, continue en agaçant avec les dents un bourgeon, puis l’autre. Ils se dressent de plaisir alors qu’elle murmure encore un « non, non ». Il glisse sa main sur la peau brunie. Du ventre légèrement bombé, comme un coussin d’amour, il descend vers la fourche. Le buisson lui semble plus fourni. Il lisse la toison, du bout du doigt il retrouve ses anciens repères. Comme tout son corps, ses lèvres se sont épanouies : elles sont plus ourlées et légèrement plus écartées. Il les frictionne du tranchant de la main. Les jambes de la jeune femme s’écartent pour permettre un frottement plus intime. Alors, l’index et le majeur s’aventurent dans ce sanctuaire entrouvert et humide. Le pouce remonte trouver le bouton, le faire tourner, l’écraser, le relâcher. Elle lui avait enseigné autrefois ce geste qu’elle adorait. La bouche de Patrice vient remplacer ses mains. Ils n’avaient jamais envisagé cette caresse, ignorant qu’elle faisait partie des subtilités de l’amour. Il saisit l’occasion, s’il connaissait l’odeur de son amie, il en apprécie maintenant le goût. Ses mains soulèvent les cuisses et il honore l’oeillet noir de sa langue affûtée en poinçon, pour tenter de le pénétrer. Jamais il n’avait pu apprécier aussi bien ce merveilleux endroit. Les protestations de Corinne se sont transformées en une ...
... plainte lancinante. Ses bras en croix se replient et les mains appuient sur la tête du jeune homme, l’invitant à parfaire sa caresse. Les jambes s’écartent soudain et elle supplie : — Maintenant, vite, viens vite. Obéissant à cette injonction, il se redresse et vient glisser son épieu qui retrouve les lieux de ses premiers exploits. Il s’immobilise un instant, comme pour prendre à nouveau possession. Puis, variant le rythme, il fait monter la tension, puis ralentit. Elle a noué ses jambes dans son dos. Il lui a pris les seins à pleine main et les fait participer à la fête. — Oui, Oui, viens ! Elle lance ses bras autour de son cou, il s’allonge au-dessus d’elle et c’est la jouissance retrouvée, plus complète que la première fois. Corinne, pantelante, desserre ses bras et ses jambes. Patrice se redresse, heureux, souriant. — On s’est enfin retrouvés !— Non, on n’aurait pas dû. Oublions ce qui vient de se passer, n’en parle jamais à personne, jure-le.— Bien, je ne dirai rien. Mais nous nous retrouverons, nous sommes si bien ensemble.— Nous nous reverrons, mais ne parle jamais de notre rencontre.— Comme tu veux. Ils se sont rhabillés en silence. Elle est partie rapidement. Lui est rentré au mas épanoui : « voilà des vacances qui commencent bien ». Il retrouve toute la famille autour du petit déjeuner. — Alors, on est mieux qu’à Paris ? lui a demandé sa grand-mère.— Ah, ici c’est merveilleux. Chaque fois que je peux, je reviens. Il a passé la matinée à retrouver ses repères. D’abord ...