Retour aux sources
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
init,
... Les bonheurs qu’ils se procurent l’un l’autre exacerbent leur plaisir jusqu’à ce que Patrice se place entre les jambes d’Audrey et présente son sexe devant la touffe. Elle l’accueille en elle. Bouches jointes, ils entament un ballet au rythme tantôt rapide, tantôt lent, au terme duquel ils jouissent ensemble. Enlacés, ils sont restés un moment sans prononcer une parole. Puis il s’est soulevé sur le coude, l’a regardée et embrassée longuement. Il se sent bien avec elle et n’a nulle envie de la quitter. Elle a lu dans ses yeux ce message et se sent rassurée. Il a passé la nuit chez elle, ils ont refait l’amour. Depuis, ils ont conservé chacun leur liberté, et ne vivent pas ensemble pour le moment. Collègues, ils se voient tous les jours, et chaque matin ils choisissent de passer ou non la soirée ensemble. Pour la première, non, la deuxième fois de sa vie, Patrice pense avoir trouvé la partenaire idéale, l’amour peut-être. C’est à tout ça que songe Patrice en sortant du mazet ce matin-là. De la route parviennent les bruits des voitures de ceux qui vont travailler à Nîmes. Elles sont rares à circuler dans l’autre sens. Pourtant, en voici une qui ralentit et s’engage sur le chemin. Intrigué, Patrice se camoufle un peu pour surprendre le maraudeur. C’est une silhouette féminine qui vient cueillir une figue et la manger. Il s’approche sans bruit, la saisit à la taille et la fait pivoter. La femme surprise, pousse un cri que Patrice étouffe en plaquant une main sur sa bouche. Elle ...
... s’arrache à l’étreinte, jette un coup d’œil à l’agresseur, et se détend. — Corinne ! Si je m’attendais à te voir là et à cette heure-ci !— Et toi Patrice ! Comment vas-tu ?— Bien et toi ?— Je travaille de nuit à l’hôpital. C’est particulièrement chargé ces jours-ci. Je voulais décompresser. Je me suis souvenu comme les figues étaient bonnes le matin à la fraîche. Tu te souviens ? S’il s’en souvient ! Et de tant d’autres choses… — Je n’ai rien oublié et je ne pourrais jamais oublier. Je te trouve magnifique, et j’ai bien envie de te le prouver.— Non Patrice, ça fait trop longtemps, il ne faut pas… Mais il ne l’écoute pas, la saisit à la taille, la pousse contre la table et l’embrasse à pleine bouche pour couper court à ses molles protestations. Elle résiste un peu pour la forme, puis cède, ouvre les lèvres. Quand la langue du jeune homme force sa bouche, celle d’Audrey prend part à la joute. Il assoit la jeune femme sur la table. Ses mains empaument les seins qu’il trouve plus épanouis mais toujours fermes. Il commence à déboutonner la robe. — Non Patrice, il ne faut pas… Mais il n’entend pas. Elle se laisse dépouiller et se retrouve offerte, nue, comme lors de son premier abandon. Les années n’ont pas modifié son visage un peu rond et doré, mais son corps s’est beaucoup modifié. La gamine un peu maigre est devenue une femme épanouie. Il a ralenti ses caresses pour l’admirer. — Oui, je sais, j’ai grossi.— Oh non, tu t’es épanouie. J’ai laissé un chat écorché, je retrouve une ...