1. Un amour de belle fille


    Datte: 02/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    Je suis une femme que l’on appelle, communément, une petite "bourge", épanouie, je m’assume complètement. Je m’appelle Élisabeth, j'ai 50 ans, veuve depuis 5 ans, je suis devenue, petit à petit, très complice avec ma belle fille, à tel point qu'un jour elle a commencé à me parler de son intimité avec mon fils, des exigences de mon fils alors qu'elle-même, n'est pas du tout portée sur le sexe ! Elle me connait bien aussi, elle sait que j'ai de nombreuses aventures depuis mon veuvage et je lui ai aussi fait des confidences.J'ai été très surprise, alors qu'elle me parlait de mon fils, qu'elle me dise que c'était un homme comme lui que je devrais rencontrer pour être satisfaite sexuellement. Je lui ai dit : « c'est sûr, mais c'est mon fils et il est ton mari », et là, elle m'a dit, en rougissant : « mais s’il était ton amant, je serais rassurée, car ainsi, il n'aurait pas besoin de prendre une maîtresse, avec toi il n'aurait pas besoin d'aller voir ailleurs ». Sur le coup, j'ai été surprise, vaguement choquée, mais je comprenais un peu son désarroi. On en a plus reparlé pendant un moment, mais je pensais beaucoup à ce qu'elle m'avait dit et un jour, sur le ton de la plaisanterie alors que nous étions toutes les deux, elle m'a dit : « alors Élisabeth, quand vas-tu devenir la maîtresse de Bernard ? ». Je lui ai répondu : « si je te prends au mot, ne viens pas te plaindre », nous en avons ri, mais tous les jours, elle m'en parlait et un jour je me suis décidée !Au fil de nos ...
    ... discussions et de ses confidences, elle m'a avoué avoir une faible libido, alors que son mari était très porté sur le sexe. Par peur qu'il n’aille voir ailleurs et connaissant aussi mon grand besoin de sexe, après beaucoup d'hésitations, elle a insisté en me demandant de séduire mon fils, qu'elle serait rassurée si cela se passait avec moi et que ça resterait entre nous dans la famille. Après bien des réticences, par gêne, par honte aussi, car ce sujet est tabou, j'ai mis longtemps avant de me décider.Elle me parlait souvent des exigences sexuelles de mon fils, de leurs relations, de ce qu'il lui faisait au lit et je n'étais pas indifférente aux détails qu'elle me racontait. Un jour, j'ai accepté, mais ce qui m'a le plus étonné, c'est que mon fils a tout de suite répondu à mes avances comme si c'était tout naturel pour lui, à croire que son épouse et lui-même en avaient déjà discuté ensemble. Et depuis presque 2 ans, je suis la maîtresse de mon fils !Cela s’est passé tout naturellement, Bernard était passé m’apporter une bricole promise par son épouse. Inutile de préciser que nous nous étions entendues de ce prétexte et que je l’attendais, fébrile et anxieuse, mais de pied ferme, remontée par la discussion que nous avions eue cet après-midi même.J’avais passé ma robe de chambre sur une nuisette transparente, juste fermée par une ceinture un peu lâche. Bien entendu, les pans du col s’ouvraient au moindre mouvement et, machinalement, je retenais ceux-ci pour ne pas avoir l’air de le ...
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