1. Un amour de belle fille


    Datte: 02/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... j'en étais folle et j’étais devenue folle de lui. Ma belle-fille me demandait souvent comment ça se passait et elle prenait la chose très bien, je crois qu'elle en était soulagée. Comme j'habitais à côté de chez eux, mon fils venait me voir tous les jours, il avait des exigences qui me plaisaient et m'excitaient.Je jouais le jeu et tout se passait bien, j’étais toujours très complice avec ma belle-fille et nous parlions beaucoup de choses très intimes.Il est vrai que la première fois, je ne me sentais pas très à l'aise, je pensais que je franchissais un tabou, mais quand le plaisir fut venu, mon orgasme a été très violent et les fois suivantes ont été vraiment supers, surtout lorsque j'en ai parlé avec ma belle-fille et qu'elle m'a serré dans ses bras en me remerciant !Est-ce que je considérais mon fils comme un fils ou comme un amant ? Sexuellement, il me comblait pleinement, il était donc plus mon amant que mon fils, mais j'avais aussi beaucoup d’amour maternel pour lui, c'était assez troublant ! Cette situation ambigüe était déroutante, mais aussi particulièrement excitante. Quand je regardais mon fils, j’étais fière qu’il fût mon jeune amant et que je puisse lui faire l’amour. Tous les interdits de mon éducation bourgeoise s’étaient envolés au profit d’une perversité grandissante, balayant tous les tabous que j’avais encore. L'amour maternel et l'amour sexuel renforçaient cet amour naturel et emportaient tous mes préjugés !Ce n’est que quelques mois plus tard que j’ai ...
    ... mis mon fils au courant de ma connivence avec ma belle-fille à son sujet. Il ne me croyait pas, bien que je fusse persuadée du contraire. Sa femme lui a confirmé, il fut très surpris, étonné, mais il l'a très bien pris. Néanmoins, il a quand-même mis du temps à oser me faire des vrais câlins devant sa femme, de me prendre alors que sa femme était toute proche !En présence d'autres personnes, nous faisons très attention, mais sans trop forcer, car une mère et un fils peuvent très bien se faire quelques câlins.Au début de nos ébats en sa présence, ma belle-fille se faisait très discrète, puis a fini par ne plus y faire attention. Quand nous nous retrouvions seules, je cherchais à savoir la raison de son apathie vis-à vis du sexe.Nous en discutions, je lui faisais lire des ouvrages sur la sexualité, puis des histoires érotiques, peut-être qu’il serait possible de l'ouvrir aux voies de la sensualité ?À mon avis, si ce n'était pas son éducation ou la morale qui l’avaient bloquée, elle avait dû subir, durant son enfance ou son adolescence, un événement qui avait heurté sa sensibilité, occultant toute envie de sexe ! Possible qu'en lui parlant, je pourrais l'aider à se découvrir !Depuis quelques temps, je la sens s'ouvrir un peu, peut-être le fait que nous ne nous gênons plus devant elle ! C'est, peut-être le bon moment de rediscuter de sexualité, d'anciennes expériences, de parler de certaines préférences, de certaines pratiques et, selon ses réactions, lui faire lire des histoires ...