1. Un amour de belle fille


    Datte: 02/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... tenter. Bernard surveillait tous mes gestes et paraissait obnubilé par la vue de mes seins qui se profilaient sous le fin tissu !Nous étions assis sur le canapé du salon, en train de boire un café et son regard dévia de ma poitrine à mes genoux, c’est alors que je vis que ma robe de chambre était remontée et que le haut de mes jambes était bien visible, je décidai que c’était le moment de me lancer !« Bernard, petit coquin, que regardes-tu ?– Tes jambes, maman, elles sont très belles !– Mais, voyons, je suis ta mère, tu n’as pas honte ?– On ne peut pas avoir honte de regarder ce qui est beau, même si tu es ma mère !– C’est vrai que j’ai encore de belles jambes…, elles te plaisent ?– Non seulement tu as de belles jambes, mais en plus, ta poitrine est superbe ! »Il se mit à rougir, ne sachant plus comment se dépêtrer de cette situation qui le mettait mal à l’aise. Je me devais de réagir, avant qu’il ne se bloque :« C’est la poitrine d’une femme de 50 ans qui t’a allaité durant 18 mois !– Justement, ce sont des seins naturels, sans silicone… ! Me dit-il, en se léchant les lèvres.– Oui, je me souviens avec quelle voracité tu me tétais… !– Ce que je regrette ce temps… !– Tu as une femme pour ça, non ?– Franchement, maman, elle n’est pas très portée là-dessus et ça me manque… !– C’est pour cela que tu regardes mes seins avec envie ?– Surtout maintenant, tes bouts crèvent le tissu… ! »C’était vrai, d’autant plus que le haut de ma robe de chambre s’était complètement écarté et que ...
    ... mes mamelons me faisaient mal d’être tendus. Je les pris entre mes doigts, espérant les calmer, mais le remède fut pire que le mal, ils se dressaient, orgueilleux, avides de caresses. Je le regardai, implorante, le suppliant du regard :« Tu vois, maman, ton corps parle pour toi !.. Tes seins bandent d’excitation et ta chatte a laissé une auréole sur ta nuisette !– Oui, je suis veuve depuis cinq ans et j’ai encore des besoins !– Si j’osais, je me dévouerais bien !– Et que ferais-tu ?– Je te sucerais les seins, puis la chatte qui me semble bien juteuse !– Alors, qu’attends-tu, prends-les, je te les offre ! »En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, mon fils s’était agenouillé devant moi, avait écarté mon peignoir et pris mes seins en bouche. Le salop, il savait y faire et tandis qu’il s’occupait de mes tétons, son autre main était descendue entre mes jambes et s’attaquait à ma chatte qui ruisselait. Très vite, il fut nu et je pus contempler sa verge qui était au garde à vous. J’étais tellement excitée que je le suppliai de me prendre à la hussarde, sans perdre de temps. Le plaisir, pour nous deux, vint très vite, nous emportant comme un ouragan. La deuxième fois, nous prîmes le temps de nous déguster, de goûter à toutes les parties de nos corps, nous étions en parfaite symbiose et l’orgasme qui s’ensuivit fut l’un des meilleurs que j’aie connu !Ma belle-fille avait raison, mon fils était fou de sexe, il ne pensait qu'à ça et j'avoue que ça me convenait très bien, moi aussi ...