Ma colocataire (11)
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
Lesbienne
... Joseph n’y fut pas insensible, même s’il me donna l’impression d’être étonné de la manière dont je m’étais comportée avec la prépa HEC. J’étais si gênée que je ne savais plus où me mettre. Quand elle se tut, il se fit un silence. Clarisse intervint : — Bravo, les filles, en quelques mois vous avez fait beaucoup d’expériences. Aujourd’hui, nous allons parachever la formation de Laure, encore incomplète, dit-elle en regardant Joseph. Elle se leva de table, s’approcha du jeune homme, lui passa les bras autour du cou. — Tu vas t’occuper d’elle, n’est-ce pas ? Nous comptons tous sur toi. Magalie me pinça la cuisse. Pierre-André qui était assis à côté de moi, de l’autre côté, me fit un clin d’œil complice, m’entoura les épaules de son bras. Un geste tendre, paternel, qui me troubla, car il n’était pas dénué de charge érotique. Il le sentit, m’attira plus près de lui. J’eus un frisson en sentant sur mon cou le contact de ses lèvres. Clarisse, qui avait entrepris de déshabiller Joseph, lui ôta son slip en même temps que le bermuda. Le garçon était déjà en condition ; pour la seconde fois de ma vie, j’étais en présence d’un sexe d’homme. Il était à demi érigé. Pierre-André me caressait avec amour et savoir-faire. Sous la nappe, la main de Magalie remontait ma cuisse jusqu’à l’aine. Clarisse avait engouffré le pénis de son protégé et s’en régalait. J’espérais secrètement que Pierre-André me ferait la même chose ; il le sentit. Quand il m’eut ôté mon T-shirt et mon soutien-gorge, je me ...
... suis soulevée de mon siège afin qu’il me retire ma jupe. J’étais nue. Pierre-André se mordit les lèvres, effleura du doigt ma chatte. C’était un amant incomparable qui savait se servir de sa langue. Il me lécha d’abord les grandes lèvres, ce qui me procura des sensations délicieuses, puis l’intérieur du sexe. Je fus bientôt dans un état d’excitation intense. Clarisse donna le signal d’arrêt : le sexe de Joseph avait atteint des proportions inquiétantes ; il était près de l’explosion. — Au lit, ce sera plus confortable, dit-elle. Elle entraîna le garçon dans la chambre conjugale, Pierre-André me prit par la main ; nous les avons suivis, Magalie fermant la marche. Un drap gris perle recouvrait le matelas. Je m’y suis étendue. Nos hôtes et Magalie étaient restés discrètement à l’entrée de la pièce, bien décidés cependant à ne rien manquer du spectacle. Debout près du lit, Joseph me contemplait. A voir sa tête, j’avais tout l’air d’être à son goût. Il paraissait particulièrement intéressé par ma fente toute rose encore luisante de la salive de Pierre-André, et de mon côté, je ressentais une envie impérieuse de ce pénis de chair tendu là, tout près de moi. Joseph s’assit sur ses talons, entre mes jambes, me laissant l’admirer. Clarisse ne nous avait pas trompées : le garçon avait du charme, plus encore que Lennon. Il avait de très beaux yeux qui brillaient de désir. Son gland était décalotté, le frein tellement gorgé de sang qu’il était presque violet. Je lui ai tendu la main pour ...