1. Ma colocataire (11)


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Lesbienne

    ... lui faire comprendre que j’étais prête, et... il y a déposé un baiser. Puis il m’a embrassée timidement sur la bouche ; prenant son pénis, il l’a ajusté à mon orifice vaginal. Il m’a pénétrée avec une prévenance infinie, guettant chacune de mes réactions. Sentir en moi cette chose vivante, qui palpitait, m’exaltait. Il commença à aller et venir, d’abord doucement, puis en accélérant le rythme. C’était si bon que je lui ai agrippé le bras pour lui faire comprendre que je ne tiendrais plus longtemps. Ensemble, nous avons été emportés par l’orgasme. Je n’avais encore jamais connu une telle jouissance. Joseph se retira ; nous sommes restés allongés l’un contre l’autre le temps de reprendre notre souffle. Son sexe était à nouveau au repos. Un filet de sperme y était resté accroché, et des gouttes constellaient ses poils fins. Plus tard, Clarisse vint s’accroupir à mes côtés. — Alors ? Tu as aimé ? J’ai fait « oui » de la tête. Je n’avais pas envie de parler. Elle se pencha vers moi, m’embrassa sur la bouche avec passion, et moi, je lui rendis son baiser que nous fîmes durer jusqu’à être hors d’haleine. Elle s’installa au pied du lit afin de laisser place à son mari. Celui-ci était en pleine érection. Prise par l’envie de lui toucher le sexe sous la gandoura, je me suis appuyée sur un coude ; j’ai tendu la main vers « la chose » qui avait encore pour moi bien des mystères. Je l’ai prise dans la paume de ma main, l’ai soupesée, puis j’ai enroulé ses poils autour de mes doigts. Le ...
    ... contact était doux. J’ai fait coulisser ma main, emmenant la peau qui le recouvrait, et c’est ainsi que j’ai commencé à le masturber en douceur. Pierre-André a bientôt émis les premiers gémissements de plaisir, et j’ai porté son membre à ma bouche. Il sentait le savon et avait, au toucher, une texture agréable. Je prenais conscience qu’en manipulant cette chose avec mes doigts, avec ma langue, j’avais du pouvoir sur les émois d’un homme. Je m’appliquais, m’exerçant à reproduire avec Pierre-André ce que Clarisse avait fait avec Joseph. Je ne me suis pas trop mal débrouillée : très vite, j’ai senti que l’homme avait du mal à se retenir. — Prends-la ! dit Clarisse à son mari. Elle me fit mettre à quatre pattes sur le drap. Joseph, à côté de moi, ne bougeait pas. Il me fixait de toute l’intensité de son regard. Clarisse alla chercher le miroir sur roulettes dont elle se servait quand elle essayait ses toilettes. Elle l’orienta de manière que nous puissions nous voir en acte, Pierre-André et moi. Il me pénétra, me prit, cette fois, avec force, ce qui ne me déplut pas. La position en levrette, qui rappelle notre condition animale, m’excitait. Je regardais dans la glace Pierre-André qui s’activait sur moi, les mains agrippées à mes hanches, le visage congestionné par l’effort ; à côté de lui, Clarisse qui surveillait la manœuvre, et j’ai eu un violent orgasme. Quelques secondes après, Pierre-André a joui dans un rugissement de bête, me remplissant les entrailles. Haletant, il se ...