Appelez-moi Zorro
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
poilu(e)s,
train,
amour,
cérébral,
Oral
pénétratio,
historique,
pastiche,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
sorcelleri,
... grâce, il enroula la lame large et épaisse de son adversaire, et d’une botte élégante lui perfora le cœur. — Fils de putasse, j’mourions.— Mourez, monsieur, mourez, mais de grâce, en silence ! La jeune femme s’était relevée et observait le duel. Au début du combat elle priait pour la vie du jeune et séduisant gentilhomme venu à son secours. Un homme seul face à cette armée de coupe-jarrets, elle s’attendait au pire. Oubliant sa nudité, elle porta une main sur son cœur, l’autre à ses lèvres, craignant défaillir. Le dernier truand mort, elle s’adressa à son séduisant protecteur : — Messire, vous venez de sauver à la fois mon honneur, ma vertu et ma vie. Je ne saurais jamais assez vous remercier.— Votre regard et votre sourire, Ma Dame, seront mes plus belles récompenses, ils resteront à jamais dans ma mémoire, déclama le Chevalier en s’inclinant devant elle, amenant son regard au niveau de l’entrejambe de la belle, dont il put admirer le buisson fourni et luisant.— Mais vous êtes blessé, vous saignez.— Juste une égratignure, Ma Dame.— Tss, Tss, ne me contez point de fadaises, montez dans le carrosse, j’y ai un peu de vin qui fera merveille sur vos plaies. Elle déchira un long morceau de sa robe en lambeaux en vue de panser son sauveur. Le jeune homme se lissa les moustaches tel un gros matou en appréciant les appas de la jeune beauté. Les mignons petits seins tressautaient à chaque geste. Les tétons dardaient vers le jeune homme, quémandant inconsciemment une caresse. En ...
... parfait gentilhomme, il évitait de regarder trop ouvertement la jeune femme, mais ne pouvait s’empêcher de l’admirer. — Déshabillez-vous messire…— Chevalier Paul de Pardevant, dit-il en retirant sa chemise. Puis-je savoir à qui appartient ce si joli sourire ?— Charlotte de Sessandre.— Ouille, ça pique.— Seriez-vous douillet, Chevalier. Oh, du sang coule de votre cuisse, retirez donc vos chausses et vos cuissardes.— Vous croyez ?— J’y tiens. Les religieuses m’ont enseigné l’art de soigner les plaies. Après une hésitation il baissa ses bottes et son vêtement. Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent, un « oh » muet se lut sur ses lèvres. Elle voyait pour la première fois le sexe d’un gentilhomme, flamberge qui palpitait en son honneur. Les deux jeunes gens se regardaient, indécis, ne sachant quelle attitude adopter. N’écoutant que son instinct, elle lui sauta au cou et pour la première fois aussi, embrassa un homme. Leur manque d’expérience en la matière étant largement compensé par un enthousiasme débordant. Il caressait les petits seins, pressait et embrassait les tétons, ne savait où donner de la main ni de la bouche. La peau de la jeune femme rosissait sous les baisers de son sauveur. La langue du chevalier venait chercher celle de Charlotte en un tendre duel. Des doigts hésitants agrippèrent et caressèrent le vit qui se pressait sur son ventre. La moustache du jeune homme vint se perdre dans le buisson odorant et humide de la belle. Elle ne cessait de répéterMerci mon Dieu, ...