1. Un voyage improvisé, une découverte fascinante


    Datte: 17/09/2017, Catégories: fh, hplusag, grossexe, autostop, toilettes, fsoumise, Oral fsodo, occasion,

    Je ne résiste pas à l’envie de vous raconter une histoire qui a changé ma vie. Elle a changé ma façon de voyager mais aussi tout mon caractère et mes habitudes. Cette histoire se déroule une semaine après mes 18 ans. Vu que je n’ai pas beaucoup changé physiquement depuis, je me décris un petit peu : je suis brune aux yeux marron, je mesure 1,68 m et je fais 54 kg. Mon corps est ferme (j’aime le sport), et il est bien proportionné : mes seins sont ni trop gros ni trop petits, mon ventre est plat, et ce qui plait le plus aux hommes sont mes fesses fermes et rebondies. Je ne suis pas du genre « Marie-couche-toi-là », mais j’avoue que j’aime le sexe, que je subis des pulsions parfois très fortes et que je me caresse de temps en temps pour me calmer. J’affectionne tout particulièrement la fellation car c’est un moment intime où je me sens soumise mais aussi en position de force : c’est un sentiment particulier mais très excitant, et je donne très fréquemment du plaisir aux hommes qui osent me le demander. Par contre, je ne propose jamais. Lors de la soirée de mes 18 ans, j’avais invité beaucoup de mes amis chez mes parents pour une petite soirée entre nous. Au cours de la soirée, ma meilleure amie qui vit à Biarritz (près de 300 km de chez moi) me téléphone. On discute cinq minutes, on rigole et elle m’invite pour le week-end suivant chez elle. Dans l’euphorie, j’accepte sans réfléchir et retourne à ma soirée. Tout se passe bien et je me réveille le lendemain avec un sacré mal de ...
    ... crâne mais des souvenirs plein la tête. Et là je réfléchis : Mais comment vais-je faire pour aller à Biarritz sans argent et sans permis de conduire ? La semaine avance et je ne trouve pas de solution ni de covoiturage. La dernière solution c’est l’auto-stop. Risqué quand on est une jeune fille seule, mais l’idée me tente, l’inconnu et le risque m’attirent. Ma décision est prise, un petit bobard raconté aux parents. Et le vendredi à midi me voilà prête, un sac à dos rapidement rempli et un sac à main bien fourni. Me voilà partie, inquiète, inconsciente aussi peut-être, mais excitée et pressée d’arriver. À ma grande surprise, je ne marche pas plus de cinq minutes avant que quelqu’un s’arrête. Tout se passe bien, et au total il faudra que je change d’hôte cinq fois pour aller de Bergerac jusqu’à Bordeaux. Tous sont très sympas, pas un pervers ; je fais ma route tantôt avec un couple en vacance, tantôt un chauffeur livreur pressé, mais aussi une mère de famille qui va voir son fils à l’hôpital de Bordeaux. Les gens sont très gentils, discutent beaucoup, je suis bien, ne pense à rien, et à chaque fois que je me fais déposer quelque part, quelqu’un s’arrête aussitôt pour me prendre. C’est génial, je suis heureuse, tout se passe bien. Mon dernier hôte, la maman, me dépose à la sortie de la rocade de Bordeaux, elle a même accepté de faire un détour pour m’arranger ! Je me retrouve sur une petite aire de repos. Je rejoins le début de la sortie de l’aire pour être sûre qu’un maximum ...
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