1. Un voyage improvisé, une découverte fascinante


    Datte: 17/09/2017, Catégories: fh, hplusag, grossexe, autostop, toilettes, fsoumise, Oral fsodo, occasion,

    ... enfourne son énorme gland dans ma bouche. Il me la remplit et je ne peux pas prendre plus. Paul gémit, à mon avis il est un peu surpris que j’aie osé. Il sent fort mais sa verge est douce, raide et j’ai l’impression que rien ne peut la tordre. Je décide alors de m’appliquer, je veux vraiment lui faire du bien. Mon autre main abaisse un peu plus son pantalon pour libérer ses bourses, douces et chaudes. Elles aussi sont de bonne taille et je me mets à les malaxer frénétiquement. J’utilise ma première main pour branler cette énorme verge et je chouchoute le gland avec mes lèvres et ma langue. À ce rythme, il ne tiendra pas longtemps et je l’entends gémir. J’accélère alors mes mains et aspire fort sur ce gros gland gorgé de sang. Le souffle de Paul s’accélère et devient plus fort, et au bout de quelque minutes, je sens deux gros jets de semence arroser le fond de ma gorge dans un grognement digne d’un ours. Suivront deux autres jets moins puissants mais bien fournis. Je ne veux pas salir son pantalon de costume alors je m’applique à bien avaler tout ce qui m’est offert en serrant encore un peu mon étreinte sur sa verge. Je nettoie soigneusement ce monstre avec ma langue mais il ne dégonfle pas. Je le caresse encore un peu, le range très difficilement dans son pantalon devenu trop étroit et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi. — Alors, tu disais que je n’assumerais pas ?— Ouf, tu m’as fait un bien de malade, tu es douée pour ton âge ! Merci !— De rien. Mais ...
    ... je t’avoue que c’est impressionnant, j’avais jamais vu un engin comme ça, ça ne doit pas être facile à encaisser !— Effectivement, beaucoup n’encaissent pas… Pendant les cinq minutes qui suivent, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, et je suis encore très excitée. Je sens encore le goût de Paul dans ma bouche. D’habitude je bois de l’eau après ces prestations, mais là, je n’en ai pas envie, je veux le garder en moi, sur moi… Je repense à ce que je viens de faire et je réalise que les choses comme ça n’arrivent pas tous les jours. Paul reprend la parole : — Et toi, tu crois que tu pourrais encaisser ?— Euh… Ou… Enfin…. Je bafouille un peu surprise par une question si directe. — Pourquoi cette question ? Où veux-tu en venir ?— Écoute Julie, je vais être franc avec toi. Tu as remarqué que je n’ai pas une bite banale non ?— Ah ben ça, tu peux le dire ! (Je réponds sincèrement.)— Eh bien, comme tous les hommes, je suis un peu pervers et j’aime les coquines. Toi, tu m’excites très fortement et j’ai vraiment envie de me faire la jolie jeune fille que tu es.— Ah oui ? Encore une fois je suis excitée et il me touche en plein vif. — Oui, mais franchement ça va te paraître con, mais je ne fais jamais l’amour à d’autre femmes que la mienne. C’est bizarre mais c’est comme ça…— Ben ok, mais où tu veux en venir ?— Julie, j’ai très envie de te sodomiser, de te dominer et de te sentir m’appartenir… ne le prends pas mal, mais l’idée m’excite. Ces mots frappent dans mon corps et à ...
«1...345...8»