Un voyage improvisé, une découverte fascinante - Histoires de Sexe

Un voyage improvisé, une découverte fascinante

... c’est vrai en plus, il a raison. Il a dû voir qu’il m’attirait, et moi je sais déjà que je l’attire. Il ne me laisse pas répondre, il pose sa main sur mon genou et me dit : — Tu sais, j’ai vu que tu me regardais beaucoup. Je me trompe peut-être, mais je crois que la situation t’excite. Et je t’avoue que moi elle m’excite beaucoup…— Mais euh… Il m’a eue, je ne sais pas quoi répondre et du coup je me dis que je vais la jouer franc-jeu. — Ben c’est vrai, tu as raison, cette situation m’excite. Le problème, c’est que tu es marié…— Ne t’inquiète pas, je savais que tu mettrais le hola : les jeunes filles comme toi aiment jouer, mais bien souvent, elles ne vont pas plus loin ! Dommage ! Le fait qu’il doute de moi comme ça, me gêne. Par contre, je me sens très excitée, je veux plus qu’une simple discussion avec lui. Après tout, je ne vais pas me démonter. — Pourquoi dommage ?— Parce que je suis très excité et j’aurais bien aimé voir de quoi tu es capable. Mais bon je pense que tu n’aurais pas assumé…— Pourquoi je n’aurais pas pu assumer ? Pourquoi est-ce qu’il me dit ça ? Qu’est-ce qu’il me cache ? La réponse ne se fait pas attendre : — Ce que je te propose c’est de le découvrir par toi-même, mais ne te sens pas forcée. À peine a-t-il finit sa phrase qu’il prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son pantalon de costume en me regardant avec un sourire rassurant. Je souris alors et sens une excitation impressionnante monter en moi. Je me sens me liquéfier et j’ai ...

... chaud. Je ne peux pas m’empêcher de fixer cette braguette. Je commence alors à malaxer son entrejambe délicatement. Je sens très rapidement son membre gonfler sous ma main. Lui, il fixe la route et conduit. Ce qui m’inquiète, c’est la taille de ce que je tripote : ça semble déjà gros, mais ça continue de gonfler sans cesse. J’entends son souffle se faire plus fort. Je décide alors d’en finir avec le doute. Je mets ma deuxième main et ouvre sa braguette en grand. J’enfouis ma main sous son pantalon et sors son pénis. Je ne peux m’empêcher de rigoler. Mais je ne sais pas si je rigole parce que je suis contente ou si c’est parce que j’ai peur. En effet, je viens de sortir un sexe impressionnant de son pantalon. Il est très long et ma petite main n’en recouvre qu’une petite partie. Il fait au moins 20 ou 22 centimètres. Ce qui me fait encore plus peur, c’est sa largeur : ma main n’en fait pas le tour ! Il a une grosse veine sur le côté, le gland est violacée, et il dégage une impression de puissance fascinante. Je reste choquée et subjuguée en fixant ce monstre qui est là, tout près de moi, ma main le tenant droit comme une lance. Paul me lance en rigolant : — Alors tu vois pourquoi je disais que tu n’assumerais pas ? ! Elles prennent toutes peur et abandonnent systématiquement au moment des choses sérieuses. Toutes ces petites coquines s’échappent. Je rigole aussi et lui réponds : — Mon cher Paul, je ne suis pas une petite coquine, mais une grande coquine ! Je me penche alors et ...