Un voyage improvisé, une découverte fascinante
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
autostop,
toilettes,
fsoumise,
Oral
fsodo,
occasion,
... nouveau je sens la pression monter. J’en ai très envie mais j’ai peur. Après tout, si moi non plus je ne pouvais pas l’encaisser… ? — J’ai déjà pratiqué la sodomie, et franchement ça s’est assez bien passé, mais les bites n’avaient rien à voir avec la tienne. J’ai bien peur que la tienne ne rentre pas ou me déchire.— Je comprends oui, mais j’ai ce qu’il faut dans le coffre pour rendre ça possible… et…— Ok ! Le fait que je coupe Paul en acceptant a dû le choquer, et m’a choquée, moi aussi. J’ai peur et je pense que ça ne sera pas possible, mais j’ai vraiment envie d’essayer. Paul ne dit plus rien et je vois son sexe gonfler à nouveau sous sa braguette. Ce cochon doit être en train d’imaginer mon derrière. Le temps me paraît une éternité, j’ai l’impression d’aller passer un examen. Je regarde Paul, il a un petit sourire aux lèvres, mais ce n’est plus du tout le même ! Celui-là est discret, secret, presque inquiétant. À quoi pense-t-il ? Trois kilomètres plus loin, une aire de repos, Paul y rentre et s’arrête devant les toilettes publiques. — Je vais me garer et prendre ce qu’il faut, va dans les toilettes, enferme-toi et je te rejoins. Dans les toilettes ! Moi je pensais qu’il voulait faire ça dans sa voiture, j’aurais préféré mais bon… J’ai l’impression qu’on vient de me poser sur le bord de la route pour une journée de tapin. C’est bizarre comme sensation. Je tremble de partout en me dirigeant vers les toilettes. Je sens que je suis trempée. Je réalise ce que je suis en train ...
... de faire : je suis en train d’aller dans des toilettes publiques pour me faire prendre par un homme que je ne connais même pas ! J’ai un moment d’hésitation en y allant, mais l’envie est trop forte. Tant pis, je me lance. J’arrive dans les toilettes et m’enferme. Aussitôt, je passe ma main dans mon jean et caresse enfin ma vulve qui est gonflée comme jamais. Je me caresse rapidement et au bout de quelques secondes, je sens déjà la pression monter, les frissons remontent le long de mon dos et, dans un long gémissement, je laisse mon corps trembler et le plaisir m’envahir. Je jouis comme une dingue, et l’orgasme est vraiment très fort. À peine ai-je fini et que j’entends derrière la porte : — Julie ? Tu es là ?— Oui, entre, c’est ouvert. Paul ne se fait pas prier, entre et ferme la porte derrière lui. Il est grand en fait, ça doit être un ancien sportif, il est plus grand que moi et encore plus costaud qu’il n’y paraissait dans la voiture. Les toilettes sont étroites pour nous deux, je me sens prisonnière… — Je veux que tu te retournes, que tu mettes tes mains contre le mur et que tu écartes bien les jambes. Je veux que tu me montres tes fesses et quoi qu’il arrive, je t’interdis de bouger ou de changer de position, ok ? Comme seule réponse, je fais ce qu’il me dit. Je me tourne et lui obéis. Paul ne perd pas une seconde, il abaisse mon jean et me le retire. Il abaisse mon string jusqu’aux genoux. — Ne te retourne pas, ne regarde pas. Tu as un cul magnifique ! Je vais te faire ...