1. Fiction. La saga de l'ascenseur. Partie 1. Le cadre et l'intérimaire.


    Datte: 09/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... nouveau. Nos baisers sont de plus en plus chauds. D’un geste preste, je dégrafe les deux boutons de sa veste et je la fait glisser par terre. • Écoutez… Lucas…je…. Alice veut rétorquer mais nos lèvres collées de façon impossible à séparer l’ont empêchée de continuer sa phrase. Les mots étaient de trop. D’elle-même, elle fait glisser sa jupe qui va rejoindre sa veste sur la moquette. Elle n’a plus sur elle que son soutien gorge, son string assorti, un petit haut court en dentelle, des bas tenus par le serre-taille et ses escarpins. Je sens l’odeur de sa chatte monter discrètement. En fait son parfum aux senteurs complexes envahit le petit salon dans lequel nous nous trouvons. Quelle sensation de bonheur, je m’enivre de tout cela. Elle me dit à l’oreille : • J’aime ça ! J’aime faire l’amour… c’est ce qui m’attend n’est-ce pas ? Elle ose finalement s’exprimer et cette confession avouée à mi-voix ne fait qu’attiser ma fougue. Je la veux, toute entière, je suis comme fou d’elle, sans savoir par où commencer à la toucher, à la caresser, comment m’arranger pour accéder au plaisir immense que promettent ses courbes magnifiques. Toujours prisonnière consentante de mes bras puissants Alice ne reste pas vraiment passive. Bien au contraire, elle se love contre mon torse et ondule du bassin pour mieux sentir mon érection dont elle avait déjà deviné la présence dans l’ascenseur. Elle soupire : • Mmmmmmmmmmmmm… Les respirations entrecoupées de ma partenaire accélèrent mon cœur et mon ...
    ... membre, déjà raide, durcit encore plus. J’essaye de plaquer mon corps encore plus contre le sien comme une clé et sa serrure, il ne manque qu’une petite poussée pour que ça rentre…mais elle évite la pénétration au début. On est fous. D’un mouvement souple je l’enlève et la porte en travers du grand lit. Je défais rapidement mes vêtements (je devrais plutôt dire que je les arrache tellement mes mouvements sont rapides). Pendant ce temps Alice a remonté un bras jusqu’à son visage et elle masque son regard. Cependant du coin de l’œil elle me guette comme une jeune fille timide à qui on a dit que la première fois il faut laisser le mâle se débrouiller… c’est fou comme elle alterne dans ses gestes naïveté et expertise sexuelle, cette alternance de rôles est très motivante. Ma bite, dressée comme un pal au milieu d’une touffe de poils drus et frisés, est assez impressionnante par sa taille. Je sens qu’apparait déjà une goutte de liquide à son extrémité. Je suis tellement excité... Je m’agenouille entre ses jambes (elle a les pieds sur la moquette). Je m’approche du «Saint des Saints». Lorsqu’elle sent le contact de mes lèvres sur le devant de son string, elle pousse un long soupir de contentement. Pendant de longues secondes, j’insuffle mon haleine chaude sur sa chatte au travers de la dentelle puis je fais glisser le string jusqu’à ses pieds. Au passage, je caresse de mes mains ses cuisses satinées, l’arrière de ses genoux (sensibles), de ses mollets et de ses chevilles. Je joue un peu ...
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