Fiction. La saga de l'ascenseur. Partie 1. Le cadre et l'intérimaire.
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... plonger mon regard dans la fourche de ses cuisses et je voyais la bordure de dentelle de ses bas. Immédiatement mon sexe s’est déployé, raide comme une barre d’acier. Alice a remarqué la bosse palpitante, saillante sur le devant de mon pantalon, que je n’aurais jamais pu dissimuler. Elle a rougi en me regardant droit dans les yeux, encore un regard indiscret mais complètement indépendant de sa volonté, qui a achevé de me mettre dans un état pas possible. Sans m’adresser la parole, mais visiblement bouleversée par ce qu’elle venait de voir, elle a quitté précipitamment mon bureau, croyant certainement que l’idée de lui sauter dessus ou de lui faire une avance claire et nette, m’était venue à l’esprit. Heureusement cet épisode était arrivé en fin de journée. J’ai rapidement rassemblé mes affaires et je suis sorti pour aller prendre l’ascenseur et quitter le bureau. Je voulais me porter loin de ce bureau et surtout loin d’elle… L’air frais de la nuit, - il était presque 20 heures- me ferait du bien et aiderait à calmer un peu mes envies d’elle. J’étais vraiment au bout du désespoir, je n´en pouvais plus… je croyais que je perdais la tête… Les portes de l’ascenseur se sont ouvertes et, soulagé, je suis monté dedans. En quelques minutes je serais ailleurs… mais quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai vu impuissant la machine s’arrêter à l’étage d’Alice. Elle était là, elle aussi… elle m’a regardé avec un air très surpris… est-ce qu’on avait eu la même idée ? De nous échapper ...
... l’un de l’autre ? Sans dire un mot et avec un signe de tête je l’invitai à monter dans l’ascenseur, à coté de moi. Après une petite hésitation elle est montée. Et j’ai senti la folie se réveiller dans mon sang. Les portes de l’ascenseur se referment sur nous. J’introduis ma clé spéciale dans le boitier de commande et, au lieu de descendre, la cabine monte ! Le regard d’Alice m’interroge et m’avançant à ses questions je fais semblant d’être complètement maître de la situation : • Tranquille, là-haut c’est mieux… Elle hésite un instant puis, ses lèvres s’ouvrent pour articuler une réponse, mais je n’attends pas sa réaction. Comme pris d’un accès de folie, je la prends dans mes bras, pose mes lèvres sur les siennes et ma langue pénètre sa bouche, l’envahit littéralement. Elle se colle à moi de tout son corps. Je la sens prête à succomber à mes assauts. Depuis le temps que j’ai deviné qu’elle fantasmait sur moi… Lorsque nous sortons de la cabine, elle découvre un lieu qu’elle ne connaissait pas, un hall immense pourvu de nombreux divans, fauteuils, tables basses. Un bar avec des vitrines fermées occupe un des angles. C’est un salon de réception qui se trouve au dernier étage de l’immeuble d’où nous avons une vue panoramique presque complète sur le quartier. Je continue de la guider. Je sors une nouvelle clé de ma poche et ouvre une porte que je referme aussitôt derrière nous. Nous sommes dans une des deux suites réservées aux hôtes étrangers de la société. Nous nous enlaçons à ...