1. Yvette


    Datte: 10/01/2020, Catégories: fh, fplusag, fagée, intermast, Oral 69,

    ... ai mes habitudes, je n’ai pas trop envie de déménager.— Mais vous ne vous sentez pas trop seule ici (c’était surtout ça qui m’inquiétait) ?— J’ai des amis, des voisins, des voisines— Et question homme ? Elle s’est mise instantanément à rougir : — Vous ne seriez pas en train de me draguer ? J’ai passé l’âge vous savez.— Yvette, vous m’intriguez, que vient faire une femme seule à cette heure dans un endroit pareil ?— Chercher un peu de chaleur et de compagnie, tout simplement.— Vous n’allez pas me dire que jolie comme vous êtes, vous n’avez pas des occasions. Je vous trouve personnellement très à mon goût vous savez. Elle avait les joues d’un rouge intense et baissait désormais les yeux pour ne pas affronter mon regard : — Tout ça n’est pas de mon âge— Teuh, teuh, teuh, que dîtes-vous là ? Cinquante-huit ans c’est encore la force de l’âge. Vous êtes une belle fleur épanouie, attirante et sexy.— Vilain flatteur !— Oh non je suis sincère, je vous trouve réellement bandante.— Mais voyons, vous êtes jeune et beau et je suis une mamie.— Vous m’excitez, je n’y peux rien Discrètement je lui faisais du pied sous la table. — Vous m’excitez et j’ai très envie de vous Yvette. Elle était blême. Je me suis levé et suis venu m’asseoir près d’elle sur la banquette, posant sans hésiter une main sur sa cuisse gauche : — Allons, arrêtez, soyez sage, on nous regarde— Je serai sage si vous me promettez une nuit de folie Yvette.— Vous êtes fou.— Non j’ai envie de vous c’est tout, de vous embrasser, ...
    ... de vous caresser, de faire l’amour avec vous, de vous faire jouir.— Mais je ne sais pas si j’en suis encore capable.— Essayez, vous verrez bien… Je vois le désir dans vos yeux, vous tremblez, vous êtes troublée.— Euh, non, je ne sais plus.— Regardez-moi dans les yeux et dites-moi que vous n’êtes pas troublée et que vous n’avez pas envie que je vous baise. Ma main, qu’elle avait retirée dans un premier temps, s’était reposée sur sa cuisse et la caressait doucement. — Arrêtez, soyez sage, on nous regarde. Ecoutez, si vous me promettez de rester très sage, je veux bien vous inviter à boire chez moi.— Avec grand plaisir.— Alors sortez discrètement et attendez-moi dehors, je vous rejoins d’ici dix minutes. Elle habitait à deux pas, juste en face l’église dans une petite maison de bourg. Sur le chemin, alors que nous marchions côte à côte dans la nuit noire : — Je dois être folle de vous inviter comme ça. Vous savez que vous êtes le premier homme à franchir le pas de ma maison depuis le décès de mon mari.— Vous n’allez pas me dire que vous êtes fidèle à sa mémoire.— J’ai eu des aventures avec des routiers mais aucun d’entre eux n’a été invité chez moi.— Vous me rassurez, une jolie femme comme vous doit avoir bien des désirs à assouvir. Et vous alliez où— En général dans leurs camions, une fois à l’hôtel avec un représentant. Mais depuis deux ans c’est terminé. Je n’ai plus de vie sexuelle.— Allons, que me racontez-vous là, une belle femme comme vous ?— Je vous jure, c’est terminé, ...