Yvette
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
intermast,
Oral
69,
... je n’ai plus envie. Je ne sais pas ce qui me prend de vous inviter chez moi, surtout que vous êtes beaucoup trop jeune pour moi.— L’amour n’a pas d’âge. L’intérieur était petit mais coquet et sans surcharge. Je me suis installé dans le fauteuil tandis qu’elle cherchait un mauvais whisky. Elle s’est assise sagement sur le canapé face à moi. — J’aime des femmes qui ont des formes et vous avez de très jolies formes, que j’ai dit en la reluquant de la façon la plus intéressée qui soit. Vous vous masturbez parfois.— Non, jamais.— Vous devez bien avoir des envies— Je vous jure que non, c’est fini tout ça.— Quand vous voyez un beau mec au café, ça doit vous rappeler de bons souvenirs— … Vous avez raison je me caresse de temps en temps. Mais je ne vais jamais jusqu’au bout. Je me suis levé et suis venu m’installer près d’elle. — Allons, soyez sage !— Comment rester sage auprès d’une si jolie femme. J’ai posé une main sur sa poitrine et me suis permis de palper ses seins. Elle a fermé les yeux : — Non, arrêtez. Mais ce n’était qu’un « oui » déguisé. Ma main a glissé dans un interstice et a extrait prestement un sein de sa cachette. Ses seins lourds étaient tombants mais ils étaient encore relativement fermes. Me penchant vers elle, ma bouche a léché son téton puis je l’ai doucement grignoté. — Vous êtes fou !— Vous me faites bander.— Oh mon dieu, que me faites-vous faire ? Sa main s’est posée sur ma braguette, comme pour vérifier mes dires. J’ai été particulièrement surpris de ...
... tant d’initiative. C’était une fausse timide et une vraie chaudasse. 2 ans de frustration pendant lesquels elle n’avait plus eu le droit à ses coups de bite dans les camions, quel gaspillage ! Dénudant complètement sa poitrine, désormais je l’imaginais bien avec un gros camionneur tatoué, en train de se faire baiser sur la banquette comme une catin. Par un mec, peut-être deux, et pourquoi pas dix. Si ça se trouve elle faisait même ça du temps de son mari, ou alors c’est lui qui l’offrait aux camionneurs. En attendant, elle avait extrait ma bite et commençait à me branler lentement d’une main experte. Elle avait le feu aux joues. J’ai osé une main entre ses cuisses, A travers son collant je l’ai sentie humide. J’ai porté mes doigts à mon nez, ça sentait la femelle lubrique. Nul doute qu’elle avait de sacrées envies à satisfaire. Preuve en est qu’elle se pencha bientôt vers ma queue et l’emboucha sans plus attendre. De mon côté, j’agrippai son collant en tirant dessus jusqu’à ce qu’il craque, provoquant un large trou entre ses cuisses. Ma main eu tôt fait d’écarter sa culotte pour farfouiller dans sa toison luxuriante, dans sa cramouille baveuse. Mais plus je farfouillais et plus elle me pompait. — Arrêtez Yvette, à ce rythme je vais jouir trop vite. Je la fis se redresser. — C’est ainsi que vous pompiez vos camionneurs ? Son regard était emprunt d’une sacrée dose de lubricité. — Vous en avez sucé combien ? Dix, vingt, cent ? Vous étiez une sacrée salope, vous pompez comme une ...