1. À l'amiable (2)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d’Aurélie de son mari, la proposition d’Edouard et sans aucun doute, tous les détails croustillants de leurs ébats dans le champ de tournesol. Elle ne put s’empêcher de rougir et de se sentir un peu gênée lorsqu’elle croisa de nouveau le regard du garagiste. Elle pensa à ce que Jean-Claude avait dû imaginer lorsqu’il lui avait serré la main peu de temps avant ; il avait dû l’imaginer nue, à genoux, en train de sucer son ami Edouard. Aurélie rougissait toujours et elle sentit une douce chaleur la parcourir. Elle regarda Edouard, il n’était pas franchement beau mais il avait été un gentleman avec elle, il n’avait pas lésiné sur les caresses, la douceur, elle avait éprouvé du plaisir en se donnant à lui. Et maintenant ce garagiste, qui avait eu tous les détails de ses ébats avec Edouard, peut-être s’était-il masturbé dans ce garage en pensant à elle après avoir écouté l’histoire. Peut-être bandait-il en la regardant actuellement. La chaleur envahit le corps d’Aurélie et s’intensifia dans sonentrejambe. Elle baissa les yeux pour tenter d’apercevoir l’éventuelle érection du garagiste. Il y avait effectivement une bosse dans son bleu de travail et cela la flatta. Elle remonta les yeux et croisa ceux du garagiste, il avait vu où le regard d’Aurélie s’était arrêté, il ne dit rien mais lui fit juste un sourire. Jean-Claude prit quelques outils et se mit au travail à l’arrière de la voiture. Aurélie, qui se sentait observée discrètement, ouvrit la porte du conducteur et se pencha ...
    ... sur le siège pour ouvrir la boîte à gants comme pour y chercher quelque chose. Elle n’avait rien à y prendre mais elle voulait se pencher en avant afin que les deux hommes puissent apprécier la vue de ses jambes et de ses fesses. Elle avait mis ce jour-là une jolie robe qui, une fois penchée en avant, remontait suffisamment pour laisser apparaître une partie de ses cuisses. — Et voilà, c’est fait, fit Jean-Claude. Cela n’avait pris que quelques minutes. — Déjà, répondit Aurélie, surprise. Vous êtes vraiment adorable, c’est très gentil. Mais dites-moi, c’est vous le patron du garage ? — Oui, c’est moi, je travaille tout seul ici. Je répare uniquement les voitures de luxe, c’est ma spécialité, ajoute-t-il. — Vous pouvez me faire visiter ? demanda Aurélie. Ils traversèrent l’atelier où Jean-Claude lui montra les voitures qu’il réparait : la Porsche d’Edouard, une Bugatti et une Aston Martin. Ils passèrent devant une pièce vitrée qui lui servait de bureau, des classeurs étaient rangés méthodiquement dans deux grandes armoires ouvertes. Puis ils approchèrent d’une grande ouverture qui n’avait pas de porte, juste une rangée de bandes rouges en plastique transparent comme dans une usine. Jean-Claude et Edouard passèrent devant Aurélie et, avec la galanterie des hommes de leur âge, écartèrent chacun de leur côté les bandes de plastiques pour laisser passer Aurélie qui apprécia ce geste prévenant. Elle observa cette pièce, elle était plus sombre que l’atelier. De grandes étagères ...
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