1. À l'amiable (2)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... regorgeaient de pièces détachées, de morceaux de carrosseries, de pots de peinture, tout était parfaitement rangé, étiqueté, Jean-Claude devait être un homme soigneux. Dans le coin à gauche se trouvait une petite salle de bain dont la porte était ouverte. Elle était recouverte de miroirs et Aurélie aperçut son reflet et celle des deux hommes. Elle se trouva belle dans sa robe, attirante. En la mettant le matin, elle ne se l’était pas avouée mais se rendait bien compte désormais qu’elle l’avait mise pour plaire à Edouard, pour qu’il la trouve sexy. Elle se retourna et les observa. Edouard n’était pas vraiment beau mais sa délicatesse avait plu à Aurélie, elle s’était sentie désirée et respectée entre ses mains. Jean-Claude était déjà beaucoup plus charmant, son physique était agréable, il avait l’air d’être en bonne forme pour quelqu’un de son âge. Sa grande moustache lui rajoutait un côté charmeur et une bonhomie de gentil grand-père... Ils restèrent ainsi quelques instants, échangeant regards et sourires sans dire un mot. Aurélie surprit des regards qui balayaient subrepticement son corps, de légers coups d’œil furtifs sur ses seins serrés dans sa robe. Elle se sentait désirée, elle appréciait le fait qu’ils attendent poliment et ne tentent rien, elle ne ressentait ainsi aucune contrainte, elle était libre et la chaleur qui l’habitait augmenta encore un peu plus. Elle sourit à Jean-Claude en s’approchant de lui et posadeux doigts sur l’écusson Bugatti cousu sur son bleu ...
    ... de travail au niveau du torse. Elle fit circuler ses doigts d’un écusson à l’autre puis descendit lentement le long du ventre plat du garagiste. Toujours du bout des doigts, elle arriva jusqu’à l’entrejambe où elle caressa lentement la bosse formée par le sexe en érection. Elle descendit encore un peu sa main et saisit délicatement les bourses qu’elle palpa tout en regardant Jean-Claude droit dans les yeux. De son autre main, Aurélie descendit la fermeture éclair du bleu de travail jusqu’en bas. Sans même regarder Edouard, elle se mit à genoux devant Jean-Claude et sortit son sexe de son slip blanc. N’ayant pas de ventre, le garagiste profitait avec bonheur de cette vision : cette belle femme tenait son sexe dans sa main, elle fit glisser très lentement la peau le long de la verge pour laisser apparaître le gland qu’elle enfila dans sa bouche. Jean-Claude sentit les lèvres chaudes se poser sur sa verge et son gland se faire envelopper de cette langue experte. Aurélie saisit de ses deux mains les hanches du garagiste et fit coulisser son sexe dans sa bouche par des mouvements de va-et-vient de sa tête. Edouard assistait à la scène, il était médusé et caressait son sexe tendu à travers son pantalon. Aurélie prenait son temps, elle ne se précipitait pas et sucer langoureusement ce sexe qui était à l’image de son propriétaire : mince, grand et bien droit. La chaleur avait envahi Aurélie, sapetite culotte était de plus en plus mouillée, elle sortit le sexe de sa bouche quelques ...
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