1. À l'amiable (2)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... profondeur de la pénétration. De ses grandes mains, il serra encore plus fermement les épaules, sans lui faire mal, afin de guider les mouvements d’Aurélie pour qu’elle coulisse bien le long de son sexe. Edouard se cala sur le même rythme que Jean-Claude pour qu’ils la pénètrent en même temps. Aurélie sentait ces deux verges envahir de conserve son vagin et son anus, se retirer lentement puis l’envahir de nouveau dans un va-et-vient interminable, source d’un immense plaisir, elle sentait l’orgasme arriver. Elle prit conscience que tous les hommes n’étaient pas des bourreaux comme son mari, que la sodomie pouvait lui procurer du plaisir et qu’elle avait une chance inouïe d’être tombée sur ces deux perles qui s’occupaient si bien d’elle. La cadence des pénétrations avait augmenté, Aurélie se dit qu’ils allaient certainement jouir sous peu, elle était en nage, les cheveux défaits, la transpiration dégoulinait sur tout son corps. Les cartons aplatis sur lesquels ils se trouvaient étaient tout humide et carrément trempés à la verticale du sexe d’Aurélie qui mouillait comme jamais. Elle ouvrit alors les yeux et son regard tomba sur la porte de la salle de bain recouverte de miroirs et la vision qu’elle eut précipita son orgasme. Elle était à califourchon sur Edouard qui pénétrait son vagin, appuyée sur les coudes, ses seins ballotaient au niveau du visage de celui-ci qui les pelotait et les léchait avec avidité. Sa poitrine était pleine de salive, des fils de bave dégoulinaient ...
    ... de ses tétons jusqu’à la bouche d’Edouard qui mordait et léchait à pleine bouche. Elle vit alors Jean-Claude qui la sodomisait en la tenant par les épaules, il avait les yeux fermés, la tête relevée, les muscles tendus, ruisselant de transpiration. Elle regarda alors son visage, elle était trempée, la bouche entre-ouverte avec une expression d’extase dans le regard. Se voir ainsi, toute nue, sa belle peau blanche contrastant avec l’environnement sombre de cet atelier et de toutes ces pièces de métal, prise entre ces deux hommes, se donnant en toute liberté, eut pour effet de faire bondir son excitation. Elle continua de se regarder, cette vison l’excitait, elle augmenta elle-même la cadence et le débattement des mouvements. C’était un feu d’artifice de sensations dans tout son corps et plus encore entre ses hanches qui recevaient les pénétrations successives. Elle s’abandonna complètement et sentit l’orgasme l’envahir, elle ouvrit tout grand la bouche pour lâcher un cri de plaisir, elle geint sans retenue, sans honte, bien au contraire, elle se sentait libre et voulait partager avec ses amants l’onde de choc de plaisir qui était en train de la parcourir. Voyant cette très jolie femme perdre contrôle et se donnant à eux entièrement, les deux hommes atteignirent le paroxysme de leur excitation et, chacun leur tour, jouirent dans les charmants orifices de leur déesse. Tout d’abord Jean-Claude qui était en nage et éjacula plusieurs saccades en enfonçant son sexe au plus profond à ...
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