48 heures (2)
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Mardi 26 juin 2018 Quand mon réveil sonne, la première chose qui me traverse l’esprit, c’est cette date. Celle que j’ai moi-même fixée à Juliette pour réaliser mon gage. Allongée sur mon lit, nue, je me remémore ce que je dois faire aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est Juliette qui m’a communiqué sa perversité, ou si elle était déjà en moi auparavant, mais j’ai envie que mes quatre orgasmes de la journée soient mémorables, et dignes d’être racontés. En plus, je mets un point d’honneur à inventer des situations différentes de celles que je dois vivre demain. Le ciel est avec nous : la météo est estivale, pour ces deux jours. Soleil et chaleur sont les alliés des petites exhibitionnistes, c’est bien connu ! Je ne l’ai pas encore dit, j’enseigne à l’université. Et ce matin, je n’ai pas cours. Je traîne un peu au lit, puis sous la douche, mais je ne veux pas me donner du plaisir tout de suite. Cela ressemblerait trop à ce que je fais régulièrement, car ma gourmandise pour le sexe se manifeste souvent de cette façon le matin. M’en priver est aussi un moyen d’exacerber mon désir, pour la suite. Non, j’ai décidé de profiter de mon temps libre, pour aller à la piscine. Il y a un complexe, ouvert récemment, avec un bassin extérieur et un solarium. Avec ce temps, rien de mieux. Je m’habille, légèrement, comme il convient pour ce que je projette, après la piscine. Pas de soutien-gorge, sous un petit débardeur, un minuscule string, et une minijupe en toile. Très mini ! Dans un sac, je ...
... glisse une serviette, un maillot, de la crème solaire, des revues, mes lunettes de soleil. Et des boules de geisha… Et départ en voiture, en direction de la piscine. Je suis un peu stressée, en réglant mon entrée. Si je me suis déjà livrée à des jeux érotiques – et plus – au bord d’une piscine privée, je n’ai jamais fait "ça" dans une piscine publique. Et en plus, dans la ville où j’enseigne. Heureusement, un mardi matin hors congés scolaires, il y a peu de monde, et personne que je connaisse. Je me rends dans une cabine pour me changer. Une fois nue, je caresse ma chatte, qui réagit au quart de tour, autant au contact de mes doigts qu’à l’idée de ce que j’ai prévu de faire. Mon petit bouton darde, un filet de mouille ourle mes petites lèvres… Je n’ai aucun mal à enfoncer dans ma grotte les boules de geisha. Elles sont deux, d’un diamètre conséquent, reliées par un cordon qui dépasse entre mes cuisses. Le contact du silicone contre les parois de mon minou est doux, et je ressens, dès mon premier geste, le mouvement des billes qui bougent à l’intérieur. Délicieusement excitant. Surtout avec des gens autour… J’enfile mon maillot, à regret. J’aimerais rester nue, mais c’est impossible. Ici, c’est à peine si on peut être topless, en s’installant discrètement à l’écart. J’ai choisi un petit bikini "triangles", sans doute le plus sage de ma collection de maillots, et je me retrouve au bord du bassin, après avoir déposé mes affaires dans un casier. Le simple fait de marcher sur le ...