1. 48 heures (2)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... toutes les deux. Elle s’appelle Lise. Elle me dit qu’elle est pressée et qu’elle doit partir au travail. Mais elle me fait comprendre qu’elle est bi, et elle me donne son numéro de portable. Pour une autre fois… Je reste près d’une heure à bronzer, en dénouant les liens de mon bikini, pour éviter les marques, puis je me dirige vers les vestiaires. Pendant les quelques dizaines de mètres de marche pour les rejoindre, les boules de geisha réveillent mon désir, qui n’avait jamais totalement disparu. Après m’être enfermée, je retire mon maillot, et je commence à me caresser. Ce sera mon deuxième orgasme… Je me laisse emporter. Je n’ai pas encore touché mon petit bouton, qu’il pointe déjà hors de son étui. Je m’assois sur l’étroit banc de la cabine, et je pose un pied contre la paroi en face de moi. Ma chatte, béante, palpite au rythme des petits mouvements de mes hanches. Mon index effleure mon clito, qui se dresse, et je commence à le masser. Mes doigts alternent entre mon petit bouton, et ma fente, dans laquelle ils plongent en poussant sur la boule de geisha. Je commence à gémir, et j’ai toutes les peines du monde à me contrôler pour rester discrète. La tête commence à me tourner, et mon autre main se glisse entre mes fesses, les écarte. Une décharge électrique m’arrache un petit cri, quand j’enfonce un majeur lubrifié de cyprine dans mon petit œillet sombre. Il me pénètre de plus en plus profondément, coulisse doucement, bientôt rejoint par mon index. Je les fais ...
    ... tourner, vriller mon fourreau qui se dilate, pour recevoir un troisième doigt. Je halète, j’ahane, sans la moindre discrétion. Je repense à Juliette. À Lise. Je voudrais les avoir avec moi, qu’elles me baisent. Je ferme les yeux, et je sens mon plaisir qui monte. Je viens. Je ne fais rien pour retarder l’explosion, ni me retenir, et je jouis… Je reste assise sur le banc une longue minute, pour reprendre mon souffle, mes doigts encore fichés dans mes deux orifices, pendant que ma sève coule doucement. Je me reprends, quand je me rends compte que mes fesses baignent littéralement dans ma mouille, et je me relève, pour essuyer les traces de ma "performance". Puis je me rhabille, à contrecœur, en modifiant mon plan pour la suite des évènements. J’avais prévu de retirer mes boules de geisha. Finalement, je les garde. Et je ne remets pas mon string. En sortant de la piscine, une bouffée d’air chaud me surprend. C’est vraiment l’été ! Et la légère brise qui vient caresser mon minou nu sous ma jupe. L’heure du déjeuner approche, et je décide d’aller manger une salade dans une brasserie, près de l’école des Beaux Arts. Je connais un peu cet endroit, même si je n’y viens plus très souvent, depuis que je ne pose presque plus comme modèle. L’avantage, c’est que la clientèle d’artistes en herbe n’est pas du genre à s’offusquer facilement. Le trajet en voiture a été plutôt un temps de récupération pour moi. Mais, après m’être garée, et dès que je me remets en marche, ma chatte est de nouveau ...
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