48 heures (2)
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... sollicitée… Je mouille déjà, lorsque je m’assois, à l’intérieur du restaurant. J’ai choisi une table qui me permet de gérer la situation. Telle qu’elle est placée, je peux me tourner facilement dans une direction ou dans une autre, en fonction des personnes installées aux autres tables. Car me faire mater fait partie du plan que j’ai échafaudé en conduisant. Il y a peu de monde à l’intérieur, la majorité des clients ayant préféré la terrasse pour profiter du soleil. Pour mener à bien mon projet, il vaut mieux éviter des spectateurs trop nombreux, qui multiplieraient le risque de réactions indésirables. Là, j’ai trouvé ma cible : un jeune étudiant attablé à quelques mètres de moi, seul, et qui me dévore des yeux à la dérobée. Un timide… Ce sera lui. Un des petits jeux auquel Juliette m’avait soumise était de me faire jouir seule, sans me toucher, en public. Je l’avais expérimenté la première fois un soir où je posais nue, comme modèle, pour un groupe d’artistes. Ça avait été terrible. J’étais honteuse, autant qu’excitée. Là, j’ai envie de retrouver ce plaisir trouble, dans cette brasserie. J’attends que le serveur passe prendre ma commande, et mon regard croise celui du jeune étudiant, qui rougit et détourne vite les yeux, quand je lui adresse un sourire. Puis, une fois que le garçon est reparti vers la cuisine, je prends ma revue, pour patienter. Je joue d’une manière convaincante la fille absorbée par sa lecture, dont les gestes ne sont pas calculés. Je bouge sur ma ...
... chaise, en remontant ma minijupe qui me gêne. Je croise et je décroise mes jambes. Je me cale contre le dossier de ma chaise, je pose un pied sur le barreau, en ouvrant le compas de mes cuisses, et je constate, en baissant les yeux que ma chatte nue est entièrement découverte. Je mouille, et je commence à m’inquiéter pour ma jupe ! Je n’ai pas vu arriver le serveur qui vient m’apporter ma salade et ma bouteille d’eau gazeuse, mais heureusement, la table doit lui cacher le bas de mon anatomie. Mon petit étudiant lui, hypnotisé, n’a pas perdu une miette du spectacle que je lui offre… Je reprends une pose plus convenable, pour grignoter ma salade et boire mon eau, en minaudant. Mais je ne peux pas me retenir de bouger doucement mon bassin, provoquant le déplacement des billes qui lestent mes boules de geisha. Un fourmillement familier ne quitte pas le bas de mon ventre, et le contact du cuir de la chaise contre le haut de mes cuisses et la naissance de mes fesses nues n’arrange rien. Je commande un café, et je reprends ma revue, pour me plonger dans la lecture. Le plus discrètement possible, je fais aller d’avant en arrière mon bassin, pour que les mouvements de mes boules de geisha ne s’arrêtent pas. Lorsqu’elles ne sont pas largement ouvertes, je serre mes cuisses quelques secondes, en les frottant l’une contre l’autre. Je sens que mon plaisir monte de nouveau, je mouille, je coule… Ce n’est pas discret, mais tant pis : je glisse ma serviette de table en papier sous ma vulve, pour ...