Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (5)
Datte: 12/01/2020,
Catégories:
Hétéro
... sevrée de baisers, de ce genre de baisers profonds et langoureux, et qu’elle vient d’en retrouver le goût, et qu’elle n’a plus envie de s’en passer. Ça me fait un peur, en même temps...) Ce baiser s’éternise, je pensais que ça serait un simple baiser de bonjour, un baiser de bienvenue, mais elle le fait durer, se love contre moi, presse ses seins pleins contre mon torse. Du coup, puisqu’elle en veut, je laisse glisser ma main jusqu’à la fente de sa robe et s’y aventurer. Elle rencontre avec satisfaction la peau nue et douce du haut de sa cuisse ; je la caresse, remonte vers sa fesse. Et là, seconde surprise : elle n’a même pas mis de culotte, elle est cul nu sous sa robe, la salope ! Ma main trouve avec plaisir et gourmandise le galbe ferme et souple de sa fesse : je me mets à les palper l’une après l’autre. La réaction ne se fait pas attendre, elle frotte son bas ventre contre le mien d’un sensuel mouvement de reptation. Je me rends compte que cette fille me fait vraiment de l’effet. Il faut dire qu’elle sait qu’elle me plait et en plus, elle met le paquet, la garce. Heureusement que ça n’est que physique, et que jamais je ne me mettrai en ménage avec cette meuf (je prétexterai - ce qui est vrai - que je ne remplacerai jamais ma femme que j’ai aimée pendant plus de vingt ans et auprès de qui j’ai été tellement heureux...) Mes doigts glissent entre ses fesses et descendent en glissant vicieusement ; ils passent sur la rondelle où ils s’attardent un peu. Je résiste à l’envie ...
... de lui enfoncer mon doigt dans le cul ; pourtant, ça lui ferait les pieds et lui ferait comprendre qu’elle m’appartient – du moins pendant les trois jours où je l’héberge. De toute façon, elle a l’air de l’avoir bien compris et ne s’oppose plus à cette idée ; on dirait même que ça lui convient parfaitement, et que non seulement ça ne la dérange pas de se faire baiser matin et soir, mais qu’en plus, c’est elle qui en redemande ! Mes doigts descendent plus bas, trouvent l’entrée de la corolle et s’y enfoncent doucement : elle est déjà toute moite. Je me mets à bander comme un malade. Elle doit le sentir tellement elle presse son bas-ventre contre moi. Ce qui doit expliquer, que soudain elle lâche ma bouche, et ses mains descendant comme pour une caresse sur mes épaules, ma poitrine, mon ventre, elle se laisse tomber à genoux, et, avant que j’ai eu le temps de réagir, elle s’est déjà attaquée à ma braguette. Elle en extirpe ma queue fièrement dressée et dure – ce qu’elle semble apprécier vu comment elle la presse doucement entre ses jolis doigts – et la prend doucement dans sa bouche délicate et gourmande. Elle commence à me sucer en me jetant des illades par dessous. Je souris et lui caresse ses beaux cheveux. Elle a vite compris la technique et je dois dire qu’elle s’y prend bien : elle suce méthodiquement et lentement, avec des mouvements d’avant en arrière, s’attardant bien sur le gland... Putain, elle me fait décoller cette salope ! Et on dirait qu’elle aime ça, maintenant. ...