1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (5)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: Hétéro

    ... J’interromps sa caresse buccale, et la prenant sous les bras, je la fais remonter. Sans un mot, je lui attrape doucement mais fermement la nuque et l’invite ainsi à se positionner debout contre ma table de salle à manger. Elle sourit, elle a compris ; elle s’appuie sur ses mains, écarte légèrement les jambes. Mes mains, passant par les fentes de sa robe, remontent en caressant ses cuisses douces et pleines ; puis me saisissant de la robe, je la remonte d’un seul coup jusque sur ses reins, dévoilant sa croupe blanche, mettant à nu ses deux belles fesses épanouies. Je noue comme je peux la robe par devant son ventre, au risque de la froisser et d’en faire un chiffon (mais je m’en fous.) De la paume, je lui fais encore écarter les cuisses et je guide mon vit dressé entre ses cuisses, où je trouve l’entrée de sa chatte. Sans autre forme de procès, je l’enfile d’un seul coup, et m’enfonce jusqu’à être en butée tout au fond d’elle. Elle pousse un gémissement de contentement qui ressemble à un petit cri bestial. Je positionne mes deux mains sur sa taille bien marquée, l’enserrant, lui faisant bien sentir mon emprise, et je commence à la saillir à un rythme soutenu. Je la besogne à grands coups de reins et tout de suite elle se met à pousser des cris, des râles de joie ; elle accueille chaque coup de bite avec un cri enthousiaste. Elle m’excite, je me mets à la baiser sans relâche, vigoureusement. Je la défonce, elle baise comme une reine, donne des coups de bassin en arrière, et ...
    ... très vite se met à jouir bruyamment, comme une hystérique. Les fenêtre sont ouvertes à cause de la chaleur, mais tant pis pour les passants s’il y en a ! Vraiment, elle y prend goût à la baise. Comme quoi, il n’y a pas d’âge, il n’est jamais trop tard. Elle a l’air de l’apprécier cette levrette. Je sens dans son ventre les vibrations et les ondulations du plaisir. Elle s’affaisse à moitié sur ses bras, ses jambes flageolent, je la sabre à grands coups de pine, j’y vais de bon cœur, je ne lui fais pas de cadeau (enfin, façon de parler... parce que ses orgasmes ont l’air de se succéder, de la ravager, elle se met à hurler.) Mon plaisir à moi ne montant pas (j’ai acquis en quelques jours une endurance hors norme, et elle n’a fait que me vider les couilles durant ces trois jours), je lui donne le coup de grâce – quelques coups de reins bien appuyés, bien puissants – puis la libère. Je pars me nettoyer un peu la queue et lui lance, sans transition : « - Bon, on mange ? J’ai faim. » Quand je ressors de la salle de bain, elle a repris ses esprits, sa robe rabattue et en place, et elle sort du frigo les hors d’œuvre. Avant de m’asseoir je l’embrasse brièvement sur la bouche. Nous nous mettons à parler de sa journée, puis des modalités de son départ le lendemain. Nous convenons qu’elle va partir en même temps que moi et que je vais la déposer à la gare, quitte à faire un petit détour. Je la trouve beaucoup plus gaie et plus positive que lorsqu’elle est arrivée. Je me dis que ce qu’elle ...
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