Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (5)
Datte: 12/01/2020,
Catégories:
Hétéro
... aurait besoin pour soigner son pessimisme habituel, voire sa sinistrose, c’est des orgasmes réguliers et des coups de pine fréquents. Mais pour ma part, ça ne pourra être qu’occasionnel, et pas trop souvent. De toute façon, elle vit à l’étranger, et quelque part, ça m’arrange bien. A peine le dîner terminé, je vois sur son visage une grande fatigue : elle a du mal à lutter, ses yeux se ferment ; je la connais bien, je sais que ça n’est pas feint. Entre la fatigue de la journée, moi qui lui ai pilonné la chatte et ses orgasmes en salves tout à l’heure, je crois qu’elle est bien vidée. Je la laisse aller se coucher, je ne lui demande rien, je vais débarrasser et remettre un peu en ordre la cuisine. Il a été convenu que je la réveillerais demain matin vers 6H30 pour qu’elle ait le temps de ranger ses affaires, de faire sa valise. Le lendemain matin je me réveille tout seul peu après 6H. Il fait déjà assez chaud et la lumière de ce début d’été emplit déjà la pièce. Patricia, dans la chambre à côté, dort encore comme un bébé. Je me suis réveillé avec la gaule et j’ai envie ; alors je vais lui faire bénéficier de mon état physiologique pour la réveiller en douceur, histoire de lui faire mes adieux en y mettant les formes ! Je me lève, à poil, et marche jusqu’à l’entrée de sa chambre. Nous avons dormi avec nos portes ouvertes et je peux la contempler : elle dort, à poil elle aussi, elle a rejeté le drap loin d’elle. Je contemple un instant son corps si blanc, un peu replet mais ...
... sans plus, ses beaux seins étalés et appétissants ; elle a un visage d’ange, elle est jolie même quand elle dort. Elle n’a pas mis de réveil, elle a préféré que je me charge de la réveiller ; être le gardien de son sommeil, c’est touchant. Je m’assois très doucement à côté d’elle, elle bouge un peu, soupire. Je lui caresse doucement le flanc, elle entrouvre les yeux, ébauche un sourire, se met sur le côté face à moi. Je m’allonge à côté d’elle, tout contre son corps chaud. Les yeux à demi-fermés elle me tend les bras et m’enlace. Je me mets à la caresser, ma bouche fond sur la sienne qui s’ouvre, et ma langue l’investit. Ma queue raide se frotte contre son ventre, je lui caresse les fesses ; elle commence à onduler du bassin dans une danse sensuelle. J’embrasse ses lèvres, je tête sa langue, ma bouche glisse sur son menton, son cou, elle écarte les cuisses, s’ouvre à moi, tout naturellement, sans faire de manières. Ma langue descend sur ses seins, je prends ses mamelons dans ma bouche et les suçote l’un après l’autre. Ça lui fait l’effet d’une décharge électrique : elle se pâme, ses fraises durcissent immédiatement sous mes lèvres, je les agace entre mes dents, elle gémit, je pétris ses belles pêches de mes doigts. Ma langue continue sa descente, lentement, inexorablement, passe sur son ventre moelleux ; je caresse ses belles cuisses pleines, elles s’ouvrent ; je lèche le pourtour de sa vulve odorante, ses mains caressent mes cheveux. Elle s’abandonne à la promesse d’une caresse ...