Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (5)
Datte: 12/01/2020,
Catégories:
Hétéro
... encore inédite de ma part. Quand ma langue se fraie un passage entre ses fines lèvres roses elle se met à geindre, et laisse échapper force soupirs. Je lui relève ses cuisses, offrant à ma bouche la fente émouvante de sa conque ainsi que le petit illet plus sombre juste en dessous. Je me mets à la lécher avec avidité en de lents mouvements ascendants et appuyés, répétés. Elle pousse des petits cris. Je lui mordille ses jolis pétales tous luisants de sève, les suçote, prends entre mes lèvres le tout petit bourgeon, elle devient quasiment hystérique. Elle n’a pas apparemment eu l’habitude d’un tel traitement, ou alors cela fait bien longtemps. Ma langue descend jusqu’au petit cratère qu’il se met à flécher avec adresse ; elle a l’air d’apprécier la caresse dont la sensation lui semble moins aiguë, plus supportable. Je vais de l’un à l’autre, joue avec ses nerfs à vifs, ses muqueuses satinées sont douces sous mon organe ; je la sens sur le point d’exploser. Mon muscle buccal en pointe tente de forcer son petit trou ; je le sens bien tonique. Elle ne se plaint pas de cette caresse, se laisse faire, écarte encore plus ses cuisses. Je vois ses mains se crisper sur les draps, sa respiration est saccadée, haletante. A peine je relève la tête qu’elle se redresse à demi pour m’attraper par les bras : « - Viens, viens ! Prends-moi ! » Je ne résiste pas et ne lui refuse pas ce service : je monte vers elle, elle m’enlace. Je la regarde droit dans les yeux, ses beaux yeux verts qui ont ...
... comme un éclat amoureux ; ma bite dressée se pose sur sa vulve. Je sens qu’elle commence à onduler du bassin, me réclame. Ma queue trouve toute seule son chemin, comme si on se connaissait depuis des lustres, je glisse doucement en elle, son fourreau m’absorbe et m’enserre. Je sens déjà des spasmes de plaisir dans le bas de son ventre qui vient au-devant de moi ; elle se balance d’arrière en avant comme une hystérique, elle me contemple, la bouche entrouverte, je sens son souffle, elle m’appelle de tous ses sens. Elle me murmure, d’une voix éteinte, mais d’une voix de folle : « - Viens, baise-moi, prends-moi, prends-moi fort. » Lentement d’abord, puis en accélérant je lui balance mes coups de reins. Je sens que je bute bien tout au fond d’elle, ce qui lui arrache des râles puissants à chaque fois. Son orgasme monte très vite, je l’entends, je le vois et je le sens. Mes mains ont saisi le bas de ses reins et je le presse rythmiquement contre moi à chaque coup de boutoir. Elle n’arrête pas de jouir, on dirait une vanne qui s’est ouverte et le flot ne semble pas près de se tarir. Elle m’excite aussi, et j’ai la queue à vif ; mon plaisir monte mais j’en veux plus. Sa chatte est tellement trempée, tellement assouplie par trois jours de baise intense que je ne la sens plus m’enserrer. Alors, soudain, m’interrompant et m’éloignant d’elle je lui dis : « - Mets-toi à quatre pattes. » Un peu surprise, un peu décontenancée parce que j‘interromps cette partie de plaisir, elle semble comme ...