1. Section TG (17)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Transexuels

    31- Anton me sodomisa une nouvelle fois et éjacula dans le préservatif. Il le retira et me demanda de le nettoyer. Ce que fis avec la gourmandise de rigueur. Je finis la nuit à ses coté et je dus le sucer au réveil. Après la douche et le café, il me fit faire le tour du propriétaire. La maison était vraiment grande. Une dizaine de pièces. Il me montra une chambre vide à côté de la sienne. — Tu pourras t’installer ici, dit-il. Comme ça, tu ne seras pas loin, si j’ai une petite envie. — Parfait ! répondis-je, intérieurement heureuse de ne pas avoir à passer toutes mes nuits avec lui. Au bout du couloir était la chambre de la grande blonde, Ludmilla Miguevitch de son nom. — C’est mon chauffeur et mon garde du corps. C’est une ancienne des forces spéciales russes. Et effectivement, elle n’aime que les femmes. Alors n’essaye même pas de la chauffer car elle t’arrachera les couilles avec ses dents. Je déglutis bruyamment. J’avais là une adversaire de choix et j’espérai que je n’aurai pas à faire à elle dans un combat au corps à corps. — Ici, c’est mon bureau. Interdiction d’entrer sauf si je te le demande, c’est clair ? — C’est clair ! Autant dire que mon objectif premier serait de braver l’interdiction de ce cher Anton-Barbe bleue. On termina la visite. Cuisine, garage, la salle de sport et le parc. La vue sur Paris était fantastique. Je n’osai pas imaginer le prix d’une telle demeure, ni même les impôts qui allaient avec. — Je vais aller chercher quelques affaires et je reviens, ...
    ... dis-je — Très bien. Mais soit là ce soir. Je pourrai avoir des envies. — Toutes les envies que tu voudras mon chou. Je revins en fin d’après-midi. Je laissai Vanessa devant la maison de Sergeï qui n’était qu’à deux rues de celle d’Anton. Je fis la connaissance de Marie, la cuisinière avec qui je dînai en compagnie de Ludmilla. Si les deux femmes bavardaient tranquillement, elles ne m’adressèrent pas la parole. Anton rentra assez tard et vint me voir dans ma chambre. — Bien installée ? — C’est parfait, dis-je. — Très bien. Je prends une douche. Tiens-toi prête. Il me sauta sans préliminaire et sans se soucier de mon cas. Seul son plaisir importait. Dix jours passèrent pendant lesquels je prenais mes marques. Régulièrement, j’allais faire du shopping avec Vanessa et faire le point sur nos avancées. Force était de constater que Sergeï était plus secret qu’Anton –Vanessa restait confinée dans sa chambre– mais aussi plus sauvage dans sa façon de baiser. Puis je rentrai le soir pour une partie de jambes en l’air. Mais mon premier objectif occupait encore et toujours mes pensées : comment entrer dans son bureau et y placer tous les mouchards qu’on m’avait donnés. J’avais déjà repéré son trousseau de clé et il fallait que je me débrouille pour en faire une copie. Sophie Garan nous avait parlé de la possibilité de faire un double à partir de quelques photos et d’une imprimante laser. Ce ne fut qu’à la fin de la semaine que je pus enfin agir. J’avais fait en sorte d’épuiser mon amant ...
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