1. Section TG (17)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... et mécène en réclamant une nouvelle sodomie. A presque cinquante ans, et le manque flagrant d’exercices, Anton avait de plus en plus de mal à tenir la distance. Il s’endormit comme une masse pour ronfler comme un sonneur. Je subtilisai son trousseau et allai m’enfermer dans les toilettes. Je fis toutes les photos nécessaires et les envoyai à Sophie avant de les effacer. Il ne faudrait pas qu’Anton tombe dessus par hasard. Le lendemain, nous croisâmes notre chef aux Galerie Lafayette qui glissa discrètement la copie dans mon sac. Vanessa était toujours sur la touche. Lorsque je rentrai à la maison, un mot était posé sur mon lit. « Je pars pour le week-end. Tu peux rentrer chez toi. A lundi. Anton ». Evidemment, Ludmilla était du voyage. Le pied ! Je testai aussitôt les clés. La pièce était immense. Un grand bureau style empire, ou du moins ancien, entouré de fauteuils, trônait sur la gauche. A droite, un petit coin salon avec deux canapés et une table basse. Des toiles de maîtres aux murs, vraies ou simples copies, je n’en savais rien. Deux armoires derrière le bureau. Je posai mes mouchards dans des endroits stratégiques et quittai la pièce. Je revins dans ma chambre et posai mon IPhone sur sa base. Une application au nom totalement débile et donc insignifiant, soigneusement dissimulée dans un dossier anonyme, me permit de vérifier le bon fonctionnement de mes mouchards. La station de travail, soi-disant là pour écouter ma musique à tue-tête, enregistrerait le moindre bruit, ...
    ... et donc les conversations, qui animerait le bureau. Il ne me restait plus qu’à pirater son PC et le tour était joué. Comme Anton l’avait suggéré, je quittai la maison et rentrai chez moi, à la caserne, pour un week-end de repos. La vie reprit son cours. Grasse matinée, shopping, sodomie. Nouvelle soirée libertine. Cette fois, on faisait partie des meubles. A la fin de la soirée, avant de partir, Vanessa vint pleurnicher auprès d’Anton pour que son ami lui laisse un peu plus de liberté dans la maison. Anton, amusé, fit la leçon à Sergeï, qui depuis, laissa un peu plus de mou à Vanessa. Cela faisait maintenant un mois que l’on était dans la place. Anton, tout comme Sergeï, profitaient de nous comme bon leur semblait. C’était le deal. Et nous, on profitait de la vie d’oisiveté, sans faire de vague. Anton recevait régulièrement des amis avec qui il s’enfermait dans le bureau. Mes mouchards entraient en action et les conversations, toujours en serbe ou en russe, étaient relayées à mon quartier général via la station s’accueil de mon Iphone. De son coté, Vanessa avait enfin pu entrer dans le saint des saints de son mentor. — Malika, tu peux venir s’il te plait ? Je lisais tranquillement une revue people sur mon lit quand Anton entra dans ma chambre sans prévenir. — Qu’est-ce qu’il y a ? — J’ai besoin de toi. Je me précipitai derrière lui et entrai dans son bureau. — Whaaah ! fis-je faussement émerveillée. Ce sont des vraies ? demandé-je en montrant les toiles — Certaines, oui. Ou ...