1. Section TG (17)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... pas, répondit Anton, évasif. Sur les canapés étaient assis deux hommes, plutôt massifs et musclés, même s’ils paraissaient avoir le même âge qu’Anton. — Mes amis ne me croient pas quand je leur parle de toi. Tu leur montres ce que tu sais faire ? — Mais oui mon chou, minaudé-je. Par qui je commence ? — Prends les deux à la fois. Je m’approchai des deux hommes qui se levèrent poliment. Je m’agenouillai et défit leur pantalon qui tombèrent sur leurs chevilles. Je dégageai leur sexe pour les sucer tour à tour. J’ignorai leurs commentaires débités en serbe et entrecoupé de rires gras, me concentrant sur ma tâche, tout en restant vigilante. On ne se savait jamais de quoi ces hommes étaient capables. L’un d’eux se dégagea et me plaqua sur le canapé. Il relava ma jupe, caressa mon sexe à travers la dentelle de mon string puis présenta son sexe à l’entrée. Bien évidemment, il n’avait pas pris soin de se protéger et avant que je ne proteste, il s’enfonçait dans mes chairs. De toute façon, je ne pouvais plus dire grand-chose car l’autre fourra sa queue dans ma bouche. Ils me besognèrent un moment avant de se vider en moi. J’étais furieuse mais je quittai la pièce avec le sourire. — J’espère qu’’ils sont clean tes potes, dis-je en entrant dans le bureau d’Anton. Parce que je veux bien faire la pute, mais il y a des limites. Il releva la tête doucement et me regarda un moment. waiwbbkh — Sors de mon bureau, dit-il calmement. Je fis marche arrière. — Si j’ai chopé une merde, je te ...
    ... tue, dis-je avant de claquer la porte. Je passai la soirée seule dans ma chambre. Il était temps de passer à la vitesse supérieure. L’idée de pirater son PC par la manière douce n’était plus d’actualité. 32- Les jours passèrent. Je fis malgré tout un test de dépistage qui s’avéra négatif. Anton me redemanda une nouvelle fois de satisfaire un de ses clients, mais ce jour-là, ce fut Anton lui-même qui donna un préservatif à son ami. Mon esclandre avait porté ses fruits. — Je peux entrer ? demandé-je en passant la tête par la porte de son bureau — Qu’est-ce que tu veux ? dit Anton, un brin en colère — J’ai un souci avec mon téléphone et j’aurai besoin de le brancher sur un PC pour faire des vérifications. Il souffla. — Bon d’accord. Ça me fera une pause. — Merci, dis-je. Je connectai mon téléphone à l’ordinateur, lançai une application sur un site web estampillé Apple mais en apparence seulement et retirai mon téléphone. Cela avait duré un petit quart d’heure. Le virus était dans la place. — Tu as l’air de t’y connaitre, remarqua Anton. — Oh non. Sortie de ce site, je n’y connais rien. Tu disais que tu avais besoin d’une pause. Tu veux que je te délasse ? — Et qu’est-ce que tu proposes ? — Je peux jouer la secrétaire modèle et arroser la petite plante ou passer sous le bureau Anton sourit. — Oublie la plante verte et passe à la suite. Je m’exécutai. Je pompai sa queue pendant qu’il téléphonait. Parfois, j’entendais quelques hésitations dans ses phrases. La conversation en serbe ...