1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (4)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Hétéro

    ... mais j’étais bien chez tonton. Et puis fallait voir mon petit bout de cousin, pas très assuré sur ses jambes s’avancer vers moi en disant « Vitor, jouer ballon » c’était craquant. J’ai véritablement décidé de partir quand, un matin, la mère du petit s’est pointée pour le récupérer. Elle pensait arriver, comme si de rien n’était et repartir avec alors qu’elle n’avait pas de boulot et qu’elle logeait à l’hôtel à sa sortie de prison. Autant vous dire que Jacques n’était pas d’accord. Lui il travaillait, il avait une situation et surtout le gamin ne connaissait que lui. Il ne s’est pas prié pour lui dire qu’aucun juge ne lui laisserait la garde dans ces conditions. Je me suis proposer de partir et qu’elle prenne ma chambre. Connaissant Jacques il allait surement en profiter pour la remettre dans son lit, grand bien lui fasse. J’ai appris plus tard qu’ils s’étaient remis ensemble et qu’elle travaillait avec lui. En tout cas maintenant que j’étais seul, je n’avais plus à me justifier de travailler tard alors qu’en fait j’étais parti voir un striptease avec les collègues à Pigalle. Quand j’ai aménagé, je me suis dit « ça y est c’est chez moi ». Par contre c’était vide. Du coup j’ai invité mes collègues de boulot. On s’est fait une bonne grosse fiesta après le boulot. Fallait nous voir tous, à chanter « La digue du cul », chacun avec une bière à la main et moi torse nu avec ma cravate nouée autour du crâne, à danser sur la table. Oui j’avais un peu bu …. Bon ok beaucoup bu mais en ...
    ... même temps j’étais chez moi et on s’est bien marrer. Au niveau fille, bah comme beaucoup d’hommes célibataires en manque, je suis allé aux putes. J’y suis allé mais pas longtemps. Déjà parce que je trouvais ça glauque et puis surtout j’ai trouvé plus sympas. Avec les potes du boulot on a découvert un bar à strip-tease où on pouvait avoir un show privé. Ce n’est que plus tard que j’ai appris qu’avec quelques billets de plus, certaines filles acceptaient d’écarter les cuisses et d’ouvrir la bouche. J’avais beau essayer de draguer dans les bars, ça ne marchait pas des masses alors je me suis rabattu sur des prestations tarifées négociées sous le manteau (donc non officielles). Quand on ne plait pas et qu’on peut se le permettre bah il n’y a pas beaucoup de solution évidement c’est sous réserve que la fille soit d’accord ( je n’ai jamais forcé personne). Ce n’est que plus tard que j’ai découvert un autre aspect de ce boulot. Au départ on ne gérait que des portefeuilles nationaux voir même locaux, petits d’abord puis plus importants. Au vu des résultats de l’équipe, on a fini par nous confier des portefeuilles de plus grande envergure seulement pour ça, il fallait partir en déplacement pour en négocier les termes (taux d’intérêt, durée du contrat, …). Je me souviens encore du premier. C’était une grosse boite industrielle. Ils nous avaient réservé à chacun une chambre dans un hôtel de luxe. Une fois installé, on devait se retrouver tous au bar de l’hôtel avant de dîner sur place. ...