1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (4)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Hétéro

    ... sommets j’ai toujours eu ce qu’il fallait. Elle m’a sucé divinement bien. Une chose était sûre, elle savait y faire. C’était à moi de lui montrer qu’on pouvait m’appeler « langue de velours ». — Oh oui ….. Ce que c’est bon ….. — Merchi dit-elle alors la bouche pleine. — Attend arrête toi, stop. — Bah pourquoi tu veux arrêter ? — C’est à moi maintenant de te montrer ce que je sais faire. Va t’allonger sur le lit. Elle s’est allongée, je lui ai retiré son string et j’ai commencé à appliquer tout ce que j’avais appris avec l’actrice porno avec qui j’avais couché. Je la sentais respirer, soupirer de plus en plus fort, puis ses mains sont venues me maintenir la tête comme si elle ne voulait pas que je m’arrête. Pendant un moment j’ai même cru entendre un « C’est bon, ne t’arrête surtout pas ». « Ne t’en fais pas ma jolie, Je n’ai pas l’intention de m’arrêter en plein milieu » pensais-je intérieurement. Pendant que je lui faisais du bien, mes mains ont rejoint ses seins. Je les palpais, je lui titillais les tétons, ….. Je sentais qu’elle était à point pour le grand final. Alors, en forçant ses mains qui tentaient de me maintenir je me suis levé, j’ai retiré ma chemise et je me suis allongé sur elle pour la pénétrer. Je lui faisais face alors que mon sexe remplissait le sien. Je la sentais frétiller dans mes bras à chaque coup de rein. Avec les femmes on ne sait jamais mais je n’avais pas l’impression qu’elle simulait. C’est quand j’ai voulu changer de position que j’ai compris ...
    ... qu’elle ne simulait pas. — Attend …. Je vais changer de position. — NON, ne t’arrête pas. Me dit-elle en me bloquant avec ses jambes. — Euh … A l’origine c’est moi le client. C’est moi qui pose mes conditions. — Désolé, mais c’est tellement bon …. — Mais on dirait qu’il ne s’en sort pas trop mal le gros finalement ? — Il s’en sort très bien mais il s’en sortirait mieux s’il continuait à limer. — OK, alors c’est reparti lui ai-je dit Devant une telle demande, j’ai alors repris mes coups de reins en alternant les phases de lenteur-douceur et de vitesse-brutalité. J’ai continué jusqu’à jouir et j’ai un peu continué après tant que ma queue n’était pas encore trop ramollie. J’étais tout content de cette soirée. J’étais allongée dans mon lit, à reprendre mon souffle, et cette fille dont j’ignorais le prénom était allongé sur moi le sourire aux lèvres. — Alors ? Finalement t’as aimé ça de coucher avec le gros ? — Oui. J’ai déjà eu des clients beaux, grands, sveltes, qui roulaient des mécaniques mais qui étaient loin de t’égaler. Et puis je dois admettre que m’allonger sur ton ventre, c’est confortable. En tout cas plus agréable que des pectoraux tout durs. — Comme quoi le physique ne fait pas tout. Au fait, je m’aperçois que je ne connais même pas ton prénom. — Amélie. — Moi c’est Victor. Dis-moi t’es sensé partir quand ? — Rien n’est défini. — Ça te dirait de rester pour la nuit ? On pourrait remettre ça plus tard ? — Avec plaisir. Elle est restée toute la nuit avec moi et heureusement ...