L'Éden et après
Datte: 15/01/2020,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
uniforme,
fépilée,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
... formulée. Elle avait envie de lui maintenant, la partie anodine était terminée, son ventre, son sexe reprenaient le dessus, elle était sexuellement excitée, salement. Elle frémit soudain en se rendant compte qu’elle mouillait, que son sexe se lubrifiait à l’idée de ce qu’elle allait faire, de sa tenue. Elle se représentait mentalement la forme du sexe, du pénis de l’homme qui se trouvait en face d’elle, se demandant s’il était épais, long et anticipant la forme de son gland. Elle se demanda s’il mouillait, les hommes mouillaient aussi… Elle servit le vin et ils trinquèrent. Le vin était parfumé et doux, capiteux aussi, elle l’avait servi généreusement. Elle le contemplait tranquillement par-dessus son verre en sirotant le liquide ambré et frais. Elle apprécia sa manière de boire, il dégustait en connaisseur, faisant tourner le liquide dans le verre, le humant avant d’y tremper les lèvres. Il lui souriait, apparemment, il s’habituait à elle, il se détendait, elle sentit qu’il changeait, devenant moins stressé, moins guindé. Quelle merveille ce nectar, quelle bonne idée, cela désinhibait magnifiquement et elle se trouvait sur un petit nuage. Sa timidité, si tant est qu’elle ait été timide, sa pudeur s’était envolée et maintenant, maintenant… — Max ! Que penses-tu de moi, là tout de suite, ne réfléchis pas, dis-moi ce que tu penses de moi, cette fille qui se ballade à poil devant toi, sans pudeur…— Je… Nancy, je ne sais pas, tu… tu es belle, j’aime te voir, j’aime la forme de ...
... tes seins, de tes fesses, tu es une très jolie fille et je… tu me fais de l’effet, beaucoup d’effet, voilà… j’aime cette situation, cette liberté et aussi la confiance que tu me fais, c’est un beau cadeau que tu me fais là… Il avait de nouveau rougi. — Oui ?— Rien, rien… Elle ne savait plus que faire. Et puis elle se leva et se dirigea vers lui. Il la vit s’approcher de lui comme dans un rêve. — Aimes-tu ma poitrine ? Elle mit ses mains en coupe autour de ses seins et laissa juste dépasser ses tétons. Elle s’approcha et souplement s’assit devant lui, à califourchon sur le banc, ouvrant ses jambes pour s’asseoir tout contre lui. Maintenant ça commençait à durer, elle allait agir. Elle posa sa main sur sa chemise d’été et commença à la déboutonner, avec application, lentement et soigneusement. Il transpirait et la chemisette était humide. Il sentait bon. Il ne disait plus rien. Elle se décida à prendre la direction des affaires… Le parfum de Nancy flottait jusqu’à lui au gré des mouvements de l’air, subtil mélange de senteurs, terre mouillée, géranium et fleurs d’été chaudes et capiteuses. Il avait envie de toucher Nancy, pas seulement la toucher, mais il se rendit compte qu’il aurait pu, là, au soleil poser ses dents sur sa peau chaude et salée et la prendre avec sa bouche, la déguster, la mordre. Une myriade de perles de cristal s’était installée au creux de la gorge de Nancy, chaude et douce. Le soleil tapait sur son dos et elle le sentait avec volupté sur ses fesses, la ...