1. L'Éden et après


    Datte: 15/01/2020, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... pierre était presque brûlante et son sexe était trempé. Elle adorait cette situation trouble, au bord du précipice, se savoir nue devant un homme qui lui plaisait, savoir que sa nudité à elle était d’abord sensuelle, qu’il ne s’agissait pas forcément de sexe, mais que tout de même… il se pourrait que leurs sexes se rencontrent, que son vagin reçoive sa verge qu’elle devinait belle et douce, cela la faisait mouiller, dégouliner et inonder la pierre sous elle. Et il ne parlait pas, se contentant de la regarder, de sourire. Il avança une main et la posa doucement sur un sein, la faisant tressaillir. Sa main était chaude et douce, délicate. Il mit celle-ci en coupe sous le globe nu et se penchant vers elle déposa un baiser sur la pointe érigée. Elle fit passer avec difficulté la chemise mouillée par-dessus ses épaules musclées et bronzées. Et puis elle dégrafa son short, fit glisser la fermeture éclair. Il se laissa faire et le sourire de Nancy s’intensifia, il se mit debout pour quitter le vêtement. Le soleil les inondait et les faisait fondre. Elle se sentait si bien devant lui, il était doux, ses gestes la ravissaient, il ne bougeait pas beaucoup, mais sa présence l’investissait complètement. Elle sortit sa verge de son slip, sans l’enlever, laissant la chair dure dépasser du tissu blanc, laissant son pénis raide et mouillé se tendre dans sa main, chaud comme un oiseau tombé du nid. Ce fut encore elle qui fit glisser lentement son slip, manipulant sa chair tendue au travers ...
    ... du tissu et tirant doucement le coton pour en dégager complètement le membre nu, enfin. Elle fut ravie, car il était beau, long, mais harmonieux, épais et déjà bien raide. Elle aimait le sexe des hommes, elle trouvait leurs verges magnifiques et c’était la partie du corps qu’elle préférait chez eux. Elle les aimait bien proportionnées, pas trop longues, mais bien épaisses et surtout d’une forme cylindrique, pas fuselée, avec un gland bien rond et lisse. En fait, elle n’en avait pas connu beaucoup sauf sur Internet où elle était adepte des sites naturistes. Il se rassit et son pénis reposa sur la pierre chaude, posé sur ses testicules bien ronds, entre ses cuisses à elle. Bon sang qu’il était mignon, un canon ce type, il était fin et musclé et harmonieux, elle adorait le voir ainsi, nu, et en érection. Elle détailla ses bras, ses épaules et sa poitrine large et belle, il dégageait une impression de force et de fragilité en même temps. Il prit son verre de vin, ambre et frais et lui donna à boire, faisant déborder le liquide frais sur sa gorge, inondant ses seins et son ventre. Le vin traça de grosses taches couronnées sur la pierre blonde, entre leurs sexes. Comment faisait-il pour rester là, tendu et érigé sans se saisir d’elle, sans la toucher… ? Nancy se sentait toute mouillée, lubrifiée, pensa-t-elle même de manière un peu obscène… Elle fit repasser sur sa langue le mot : lubrifiée, quelle horreur ce mot brut, mâle, ce mot gynécologique. Son sexe attendait un sexe masculin ...
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