1. L'Éden et après


    Datte: 15/01/2020, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... pour le courrier, elle essuya ses mains sur ses cuisses, posa sa pelle et se dirigea innocemment vers le portillon. C’était un facteur remplaçant, elle l’avait déjà vu plusieurs fois et l’appréciait pour sa gentillesse. La porte, en grosse tôle bleue, opaque et rude à manier, donnait sur la rue, une petite rue de village, étroite et peu passante. Les gonds en étaient un peu rouillés et elle s’était déjà promis de les graisser, car le vantail se bloquait quelquefois grand ouvert. — La porte est bloquée ! lança-t-elle assez fort pour qu’il l’entende. Poussez fort… Elle posa la main sur la poignée, tira dessus de toutes ses forces et l’entrouvrit quand elle se souvint enfin qu’elle était nue. La panique la saisit et lui glaça l’estomac : elle ne sut que faire. De l’autre côté, le facteur poussait comme un sourd sur la porte. Elle ne pouvait pas retourner s’habiller, c’était trop loin et aurait demandé trop de temps. Elle se résolut à entrouvrir la porte en se cachant derrière. Elle avait tout d’abord ouvert le judas, se faisant toute petite pour qu’il ne l’aperçoive pas, pensant pouvoir récupérer la lettre de cette manière, mais il avait un paquet et elle devait signer un document. Elle connaissait le jeune homme, mais ne voulait pas qu’il la voie ainsi ! Elle essaya d’entrouvrir seulement la porte, mais ne réussit pas à la décoincer, elle lutta avec la ferraille et derrière, le facteur poussa un grand coup. La porte s’ouvrit en grand ! Emportée par son élan, elle laissa ...
    ... échapper la poignée et se retrouva projetée à terre, ébahie. Le jeune homme fit des yeux vraiment ronds ! C’est vrai que le spectacle devait être coquin ! Nancy ressentit rudement sa chute, elle tomba sur le côté puis se retrouva assise sur le dallage de carreaux de ciment, les jambes écartées et les mains de chaque côté, le torse en arrière, sonnée. Son chapeau roula jusque sur la pelouse. Il se figea dans l’entrebâillement, son grand sac de facteur en travers et sa casquette relevée. Il resta planté là, à la mater des pieds à la tête. Elle était magnifique, il est vrai, assise les jambes ouvertes en grand, nue au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer, ses bras en arrière faisaient gonfler sa poitrine ronde aux pointes dressées. Il ressentit un choc en la découvrant, étonné de la voir ainsi. Il s’attendait à ce qu’elle porte un maillot, quelque chose de petit et sexy, mais pas à ce qu’elle se soit mise nue et surtout pas à ce qu’elle ouvre la porte dans cette tenue… La vision de son ventre si totalement dénudé le désarçonna complètement, jamais il n’aurait imaginé voir ainsi révélé le sexe d’une femme. Elle était assise les jambes écartées et sa position ouvrait son sexe, le montrant, net et lisse, ouvert sur son intimité. Elle pensa tout d’abord se cacher, mais décida que cela serait ridicule : elle fit face et accroupie se redressa lentement en déséquilibre puis se campa devant lui, les jambes un peu écartées, les seins arrogants et le regarda dans les yeux. Elle grimaça en ...
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