1. Le fétiche


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, grossexe, pénétratio, aventure, fantastiq,

    ... jour minimum et pas n’importe quoi. De la biche à la cuisse alerte, du minou frais et juteux, de la moule baveuse, bref : un con à fouiller, à ramoner, à mener au-delà de l’extase. J’ai largement puisé dans la liste des élèves auxquelles j’avais déjà dispensé des cours particuliers, fixant mes rendez-vous en fonction de l’appétit de mon informateur. Rejouant encore et encore, avec de subtiles variations liées au caractère de chacune, mon cours d’initiation sexuelle à la sauce des Achuars. Au bout de deux jours, ce n’est plus moi qui appelais mes étudiantes pour les inviter, mais elles-mêmes qui me suppliaient de leur accorder un rendez-vous. Je ne me rasais plus, ne quittais plus ma robe de chambre sous laquelle je ne portais rien d’autre que ce double magique venu du pays des esprits jivaros. Mon bureau était encombré de papiers et de livres, le salon débordait d’emballage de pizzas livrées à domicile et de bouteilles vides. La cuisine était un champ de bataille et mon lit…, je vous épargne le tableau. Les filles qui venaient me voir étaient visiblement parfaitement informées du déroulement de la séance. Acceptant docilement de se faire bander les yeux afin de me permettre de libérer mon impatient chasseur. Un soir, lors du troisième « repas » de la journée, tandis qu’Amasank ramonait une blonde pulpeuse qui, malgré son évidente expérience, beuglait de plaisir comme les autres, j’ai eu envie de voir à quoi pouvait bien ressembler l’intérieur d’un trou du cul. Mal m’en prit ! ...
    ... Amasank a lancé une bordée de jurons en langue achuar que j’ai beaucoup de mal à dissimuler sous une quinte de toux nerveuse. Visiblement les jivaros n’étaient pas adeptes des excursions sodomites ! Il devait être 17 heures le douzième jour, lorsqu’on a sonné à ma porte. J’attendais Muriel Combstone, une étudiante dont le nom ne me disait rien mais qui avait selon elle, d’importantes questions à ma poser, mais elle n’était sensée arriver qu’à 18 heures. — Professeur Jones, quelle surprise ! Je dois avouer que je n’en menais pas large devant la jeune femme à l’air sévère qui me regardait sur le pas de la porte. Avec ma barbe de dix jours, mes cheveux décoiffés et ma robe de chambre entrouverte sur ma poitrine poilue, je devais donner une surprenante image du corps professoral de l’UCL. Heureusement, Amasank reposait sagement dans le tiroir du bureau, autrement, je ne sais pas comment j’aurais pu l’empêcher de venir pointer sa tête de nœud entre les pans de mon peignoir. J’ai invité ma collègue à entrer, essayant vainement de mettre un peu d’ordre dans l’indéfinissable bordel régnant dans le salon. Tanya Jones avait rejoint le département deux ans plutôt. Elle était spécialisée dans les pratiques chamaniques, des plaines mongoles jusqu’au cercle arctique. Elle était plutôt mignonne, cachée derrière ses petites lunettes rondes qui lui donnaient un air intello. Un agréable physique de « girl next door » comme on dit aujourd’hui. Mais elle avait un cruel talent pour effacer toute ...
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