1. Le fétiche


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, grossexe, pénétratio, aventure, fantastiq,

    ... communauté académique m’accusait. Je lui ai servi un nouveau verre de vin, tandis qu’elle me regardait avec des éclairs inquiets brillant dans ses yeux. — Et que devrai-je faire pour cela ? Il y avait un accent de défi dans sa voix, comme une dernière et inutile marque de bravoure destinée à me faire comprendre qu’elle n’allait pas rendre les armes sans combattre. — Il faudra que vous me promettiez de ne pas divulguer tout ce que je vous révélerai ce soir, au moins jusqu’à ce que je termine la rédaction de mon article.— C’est tout…— C’est tout ce que je vous demande, le reste ne dépendra que de vous… Ses yeux brillaient d’excitation. Elle a hésité une dernière fois, avant d’acquiescer en silence. Je l’ai laissée seule dans le salon, le temps d’aller chercher l’étui magique et ramer une bouteille de whisky pure malt et deux verres. — Je crois que j’ai assez bu pour ce soir Professeur Johnson— Je crois que vous allez en avoir besoin, croyez-moi. J’avais décidé de ne rien lui cacher et de lui faire partager l’étonnant mystère de ma transformation en Amasank, le guerrier des cimes, le chasseur à la sagaie magique. Je lui ai tendu l’étui pénien, souriant devant la grimace dégoûtée qui a traversé son visage en contemplant la tête réduite. — Qu’en pensez-vous ?— Étrange objet, un peu répugnant mais magnifiquement travaillé. Un étui pénien je suppose ?— En effet. Je l’ai laissée à ses pensées, contemplant la rougeur qui lui enflammait les joues tandis qu’elle visualisait ...
    ... l’impressionnant attribut glissé sur une queue tendue. Pourquoi pas la mienne ? — Et vous prétendez que cette tsantsas est encore habitée par l’esprit de cette pauvre créature ?— En effet.— … Et je suppose que pour le réveiller, il faut…— En effet. Elle m’a regardé avec un petit sourire ironique dessiné sur les lèvres et toujours cet air de défi brillant au fond de ses yeux de myope. La main venait de passer et c’était à mon tour de prendre le contrôle. Je nous ai versé un verre de whisky question de la faire languir encore quelques secondes. Puis, j’ai repris l’étui pénien qu’elle tenait dans les mains et je l’ai glissé entre les pans de mon peignoir. Son air moqueur s’est peu à peu effacé lorsqu’elle a vu la grimace de douleur qui me tordait le visage et l’agitation qui secouait brusquement mon entrejambe. — Oh Mon Dieu !… Oh Mon Dieu !… C’est tout ce qu’elle est arrivée à dire en découvrant le visage d’Amasank apparaître entre les pans du peignoir. Aucun son ne sortait de sa bouche grande ouverte. Les mains serrées comme des étaux sur ses genoux, les yeux écarquillés, elle observait incrédule le serpent multicolore qui s’agitait entre mes cuisses et la tête de la tsantsa qui la fixait de ses yeux vides. La jeune femme était littéralement paralysée. Seuls ses yeux bougeaient encore, en suivant les mouvements du serpent dressé devant elle et qui agitait sa langue bifide en sa direction. — Amasank, je te présente le Professeur Jones !— Je te connais Professeur Jones. Tu es la femme du ...
«12...131415...19»