1. Le fétiche


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, grossexe, pénétratio, aventure, fantastiq,

    ... commençait à rayonner sous l’effet des caresses magiques du chasseur achuar. Sa langue s’est glissée sous la dentelle des balconnets pour venir recueillir les perles de sueurs sur les globes de chair, et les gouttes de plaisir naissant au sommet de ses tétons dressés. J’ai glissé mes mains sous le tee-shirt pour dégrafer le soutien-gorge et elle n’a rien fait pour m’en empêcher, laissant échapper un petit grognement de plaisir lorsqu’il a mordillé les petits cylindres charnus dans sa bouche édentée. Elle ne s’en doutait pas, mais c’était moi qui la tétais sensuellement avec l’aide de ma tête de nœud, et j’y prenais un plaisir au moins aussi grand que le sien. J’ai laissé Amasank poursuivre son travail d’approche, constatant ses effets sur le corps offert de Tanya. Ses cuisses s’étaient écartées, comme mues par une puissante force centrifuge. J’ai glissé la main entre les colonnes de chair frémissantes, honteusement cachées sous l’épaisse toile du jean. Elle ne m’a pas arrêtée lorsque je suis remonté jusqu’à son entrejambe, pressant mes doigts contre sa fente, probablement déjà trempée. Ni quand j’ai ôté ses lunettes embuées, saisissant son visage pour lui dévorer la bouche tout en défaisant un à un les boutons de son jean. J’aurais dû prévoir la réaction instinctive d’Amasank. En une fraction de seconde, probablement alerté par les parfums de jouissance qui s’échappaient du jean entrouvert, il a abandonné ses mamelles nourricières pour venir se glisser dans la brèche. — Oh !— ...
    ... Pas si vite Amasank. Laissons le Professeur Jones reprendre ses esprits. À contrecœur, la tête est ressortie du jean et me regardant d’un air boudeur avant de venir se poser sur ma cuisse. Au cours de ces derniers jours, Amasank avait appris à obéir aux ordres de son chaman et à attendre avec patience que je lui permette enfin de savourer sa proie. Tanya m’a regardée en souriant. Elle était magnifique avec son visage brillant d’excitation, ses grands yeux verts et son fascinant regard de myope. Je n’ai pas pu résister à l’embrasser une nouvelle fois, et elle m’a rendu mon baiser avec tendresse et passion. C’est à ce moment que j’ai réalisé que ce que je voulais plus que tout au monde, c’était d’en faire ma femme et la mère de mes enfants. — Viens. Je l’ai prise par la main pour l’entraîner vers la chambre qui, depuis une semaine, était devenue mon terrain de chasse jivaro. — Cela vous… te dérange si je prends une douche ? J’ai l’impression que cela me fera du bien. Cela m’a donné l’occasion de mettre un peu d’ordre dans ma garçonnière, de tamiser les lumières et d’allumer quelques bougies pour donner une ambiance un peu plus magique à la pièce. Elle est ressortie dix minutes plus tard. Son corps nu se découpait dans la lumière aveuglante de salle de bain. Un mètre soixante-dix, des boucles brunes retombant sur ses épaules, des seins à la rondeur parfaite, créés pour se lover dans des mains amoureuses, un ventre plat et des hanches aux courbes délicates dessinant les contours ...
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