Le fétiche
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
pénétratio,
aventure,
fantastiq,
... lentement, écartant les chairs délicates, tandis que Bayan Hangai entamait une incantation envoûtante venue tout droit des steppes mongoles. J’étais en elle, comme je l’avais été plusieurs dizaines de fois déjà dans le con généreux de mes jeunes étudiantes qui avaient connu la visite d’Amasank. Mais le sexe de Tanya était différent. Il rayonnait littéralement, comme un palais de glace, comme le cœur d’un volcan ou comme la jungle amazonienne au lever du jour. Un esprit habitait ce palais, cela ne faisait aucun doute. Un esprit merveilleux auquel je ne demandais qu’à me livrer. Nous avons chevauché les plaines sibériennes, moi en cheval mongol, elle en chasseresse divine. Puis je l’ai entraînée dans la forêt des jivaros, laissant ma liane magique lui ouvrir le chemin. Dans le désordre de nos corps emmêlés, nous étions quatre à vivre une extraordinaire expérience chamanique. Bayan Hangai et Amasank se livraient un combat à distance afin de déterminer lequel des deux était le plus puissant. Tanya et moi n’étions que les jouets de leur duel. Je l’ai serrée dans mes bras, comme pour la protéger de cette joute chamanique qui se déroulait malgré nous dans l’écrin brûlant de sa chatte. Nous étions traversés par des vagues d’excitation de plus en plus intenses, des éclairs de plaisir remontaient le long de nos corps, parfumant nos baisers d’une incomparable saveur animale. Mais aucun des deux esprits ne voulait rendre les armes et la passion trop longtemps contenue en devenait ...
... douloureuse. Il fallait que je vienne en aide à Amasank si je ne voulais pas voir mes couilles exploser. Alors, j’ai eu une révélation. J’ai glissé mon index dans la bouche de Tanya qui l’a sucé comme s’il s’était s’agit du plus délicieux sucre d’orge. Puis, lorsqu’il a été suffisamment lubrifié, je l’ai glissé entre ses fesses professorales et l’ai enfoncé d’un coup sec au fond de son petit orifice. Je dois dire que la victoire a été aussi totale qu’immédiate. Elle a d’abord poussé un petit « Oh ! » de surprise avant de lancer un profond juron en langue mongole accompagné d’un océan de jouissance qui a bien failli emporter le pauvre Amasank. Surpris par ce brusque tsunami, l’esprit des forêts s’est mis à cracher à son tour de puissants jets de sperme, comme pour retenir la marée débordante. Nous étions tous les deux trempés, le visage brillant de nos liqueurs emmêlées, le corps transpirant de sueur. Amasank est sorti lentement de son bain pour venir se placer entre mes jambes et reprendre sa forme d’étui pénien dans lequel il était condamné à passer le reste de son existence. Mais après tout, on peut imaginer pire comme châtiment, vous ne trouvez pas ? Nous avons passé la nuit enlacés, et le lendemain le Professeur Jones emménageait chez moi pour partager en ma compagnie la plus étonnante des études chamaniques. C’était il y plus de trente ans, et nous ne sommes plus quittés depuis. Et qu’est-il advenu d’Amasank et de son compagnon Bayan Hangai me demanderez-vous ? Vous le saurez ...