1. Le journal d'Aureline 3


    Datte: 17/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... me précipice chercher le nécessaire dans le vaisselier. Je ne sais pas de quel côté me placer pour le service. Quelle idiote ! A tout hasard je tente une approche par la gauche pour utiliser plus facilement ma main droite. Maîtresse F. ne fait pas de commentaire. Elle lâche juste un ordre : « posture d’endurance », une fois que j’ai terminé. Je m’accroupis et c’est ici que les difficultés commencent. J’ai mal aux cuisses et aux chevilles. Au bout d’un moment, alors que Maîtresse F. continue de manger à une vitesse désespérante, mes muscles tétanisent et je me mets à trembler. Au moment où je crois être sauvée – elle a presque fini – une de mes cuisses lâche et je me retrouve un genou à terre. Je reprends aussitôt la position. Maîtresse F. ne réagit pas immédiatement. Elle sauce son assiette avec un morceau de pain avant de dire : « punition ». Je blêmis et, morte de trouille, m’exécute en adoptant la position prescrite. Maîtresse F. se lève et saisit la cravache. Je m’attendais à recevoir un coup sur les fesses mais la sentence est bien pire encore. Au terme d’un sifflement sinistre, je ressens une douleur terrible sur la plante des pieds. Mon cri est étouffé par le bâillon. Je reçois une volée de coups sur les reins, les talons et la voûte plantaire. C’est la pire correction que j’aie jamais reçue, la douleur est insupportable. De grosses larmes coulent sur mes joues. Maîtresse F. n’y prête aucune attention.- Débarrasse la table et apporte-moi le dessert, dit-elle. Après ...
    ... quoi tu pourras prendre la posture d’attente.Une fois le repas terminé, Maîtresse F. dit :- Il est temps de nous accorder un moment de détente, qu’en dis-tu ? Ah oui, bien sûr, tu ne peux pas répondre…Elle me débarrasse du bâillon.- J’écoute…- Merci Maîtresse.Elle rapproche une chaise et s’assied. D’un geste élégant, elle retire son string avant d’ordonner : « à genoux ».J’ai tout de suite compris ce qu’elle voulait mais, Mon Dieu, je ne l’ai jamais fait. J’ai son sexe devant les yeux. Maîtresse F. n’applique pas à elle-même ses préférences en matière de système pileux. Certes, elle fréquente régulièrement l’esthéticienne mais sans pratiquer l’intégrale. Une petite moustache, au-dessus des lèvres, orne son pubis. De près je distingue un reflet métallique. Le capuchon de son clitoris est percé d’une fine barrette. Elle est propre. Je remarque tout juste une faible odeur, discret embrun qui me rappelle que je suis en présence d’un mollusque bivalve. Ses grandes lèvres sont rouges et serrées, évitant l’étalage des plis et des replis des femmes d’un certain âge. Tant mieux car je trouverais ce spectacle un peu dégoûtant.Elle n’ajoute qu’un mot : « lèche ». Je ferme les yeux et je tends la langue. J’essaie d’appliquer ce que j’attends d’un homme quand il me fait jouir ainsi, je commence par déposer des baisers sur les grandes et les petites lèvres, en me rapprochant peu à peu du centre du plaisir. Maîtresse F. me guide en me saisissant par les cheveux. Sa respiration devient plus ...
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