1. Le journal d'Aureline 3


    Datte: 17/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... sens un de ses gros doigts fouiller mon sexe sans ménagement.- Petite salope, tu es trempée. Excitée d’avoir léché Madame, j’en suis sûr…Il a dû nous espionner, peut-être en se masturbant. Son doigt ne tarde pas à être remplacé par un organe beaucoup plus volumineux et gorgé de sang. Ce membre est gros, la voie est étroite. Il me fait mal et quand il commence à bouger, c’est pire encore. Alors, mon salaud, tu aimes baiser les jeunettes de vingt ans sur le carrelage de la cuisine ? Il donne de violents coups de reins tout en distribuant des claques sur mon postérieur avec une sorte de rage féroce. Je sers les dents. Hors de question que je lui donne satisfaction en le suppliant d’arrêter. Ce que je subis parait bénin après la correction administrée par Maîtresse F. Heureusement, il ne s’éternise pas. Il se retire et éjacule sur mon dos en soufflant comme un bœuf. Il semble pris de remords, comme prêt à s’excuser. Avec une feuille de papier essuie-tout, il éponge les gouttes de sperme.- Je vais t’aider à nettoyer, dit-il en reboutonnant son pantalon, et ensuite tu iras prendre une douche.Ma trousse de toilette est ...
    ... posée sur une étagère dans la salle de bain. Javier, les bras croisés, m’observe pendant que je me lave les dents. Il retire les bracelets et le collier. Je me masse les poignets et les chevilles. En me tournant un peu, je jette un bref coup d’œil à mon reflet dans la glace. Tout le bas de mon dos est couvert des marques laissées par la cravache. Là où les coups se sont croisés, la peau a pris une teinte violette. Je ne mettrai pas les pieds à la piscine dans les jours qui viennent, c’est certain.Javier ne sort pas quand je prends ma douche. Il me regarde me laver, me savonner le ventre, les seins, les parties intimes qu’il vient de ravager. Je ne proteste pas. J’ai juste envie d’aller me coucher.Une fois que je suis sèche, il réajuste mes accessoires d’esclave et m’accompagne jusqu’à la cellule.La porte se referme. Claquement sec du loquet. Me voici enfermée pour la nuit.Il règne un noir total dans la pièce. Je n’ai pas vu d’interrupteur, tout à l’heure. Il n’y a pas de drap sur le lit, juste une couverture de mauvaise qualité, rêche comme du papier de verre. Peu importe, je suis épuisée et je ne tarde pas à m’endormir. 
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