1. Mon infirmière


    Datte: 17/01/2020, Catégories: f, fh, rousseurs, médical, uniforme, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, ecriv_f,

    Elle arrive devant la porte de l’appartement ; elle s’immobilise, reprend son souffle, tire sur sa jupe pourtant bien longue, et sonne. Brèvement. Elle tire encore sur sa jupe. Elle a longuement hésité sur sa tenue ; pour un premier rendez-vous, elle ne voulait pas avoir l’air trop aguichante, du genre : « Bonsoir, je viens me faire sauter ! » ; alors elle a juste choisi un top un peu suggestif, mais une jolie jupe longue, aux reflets bruns dorés et au tissu très fin : elle n’est pas sexy mais de bonne coupe et de bon goût. Le dilemme a été bien plus cornélien pour le choix des sous-vêtements… Ne pas être trop provocante, mais donner envie quand même ; ne pas donner l’impression d’avoir prémédité son coup, mais ne pas se faire surprendre en culotte de grand-mère pour autant… D’ailleurs, elle n’est pas sûre du tout qu’elle aura à les montrer. Elle craint qu’il ne soit pas très entreprenant. Il a l’air si comme il faut, si réservé, si timide… Mais elle entend et reconnaît immédiatement le bruit caractéristique de son déplacement. La porte s’ouvre. Il a l’air agité ; ses yeux brillent et il a le teint un peu rouge, comme s’il avait bu. Il la détaille : elle a les cheveux relevés en chignon. Des mèches rebelles s’échappent et s’épanouissent sur les épaules et autour des oreilles en tendres tortillons cuivrés. Elle a un rouge à lèvres très vif. Elle porte un petit haut noir ajouré aux manches courtes ; il est asymétrique et laisse voir une de ses épaules ; il remarque qu’elle a ...
    ... des tâches de rousseur à cet endroit ; c’est idiot mais cela l’émeut autant, peut-être même plus, que s’il avait vu ses fesses. Ces taches de son insoupçonnées, c’est comme un petit secret dévoilé, un peu d’intimité offerte… Mais il se rembrunit pourtant en remarquant sa jupe longue et sage, qui n’est vraiment pas attirante pour deux sous ; elle est d’une couleur indéfinissable, dans les bruns, jaune-caca, mais, surtout, elle cache ce qu’il aimerait qu’elle lui dévoile. Il ne s’attarde pas sur les chaussures mais revient à son épaule nue… Il s’aperçoit alors qu’ils sont toujours sur le palier ; confus, il recule et lui propose d’entrer, de tirer la porte derrière elle et de le suivre au salon. Le couloir est assez large mais pourtant ils ne peuvent y évoluer côte à côte. Elle le retrouve dans la salle de séjour. Cela ne sent pas trop le vieux garçon, il y a même un certain raffinement dans la décoration : les doubles rideaux sont assortis aux coussins de la méridienne… Assis dans son fauteuil, il sourit de toutes ses dents. Il a la peau mate, les yeux noirs qui scintillent et des cils immenses qui touchent presque les boucles brunes qui lui tombent sur le front. Il lui lance : — Je suis si heureux que vous ayez accepté de venir !— C’est gentil à vous de m’avoir invitée ; et cela fait du bien de se voir dans un autre cadre.— Oui, d’ailleurs, je vous avoue que ça me fait drôle de vous voir en civil…— Ah oui ?— La blouse blanche vous va bien, mais c’est agréable de vous voir en ...
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