1. Mon infirmière


    Datte: 17/01/2020, Catégories: f, fh, rousseurs, médical, uniforme, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, ecriv_f,

    ... vraie femme… Sauf que vous ne m’avez pas gâté, pour la jupe !!— ??— Vous vouliez vous déguiser en nonne ? La blouse laisse au moins voir vos mollets, mais ce soir, je suis puni, je ne peux même pas mater vos chevilles !!! Et il éclate d’un grand rire qui cache un peu sa gêne d’avoir été si direct et probablement si maladroit. Décidément, il ne sait pas y faire avec les femmes. Il aurait dû lui faire des compliments habiles, lui laisser entendre qu’il la trouve désirable, par petites touches, au fur et à mesure de la soirée… Et voilà qu’il lui balance d’entrée de jeu qu’elle a une jupe à chier et qu’il aime mater ses guiboles… Le pauvre gars est mal barré et se sent plus nul que jamais… Elle reste sans voix et rougit jusqu’aux oreilles ; elle est horriblement vexée pour sa jupe et se sent brutalement hideuse ; elle hésite à se lever et partir. Elle voudrait disparaître sous terre ; elle voulait lui plaire et être belle pour ce rendez-vous et il lui signifie qu’elle est habillée comme un sac… La soirée démarre mal. Un grand silence se fait qu’aucun ne sait meubler. Il se racle la gorge. Elle tousse. Il finit par lui montrer la chaîne stéréo et lui proposer de mettre un disque. Elle saisit l’occasion pour se lever, il la suit des yeux. Elle se retourne, leurs regards se croisent et il voit que le sien est embué. Il est désespéré d’être aussi con. Il a réussi à la faire venir jusque chez lui, elle qu’il a attendue et espérée des mois durant ; elle, qui a rythmé sa vie pendant ces ...
    ... longues semaines de souffrance. Elle, qui lui tenait la main quand il avait peur, elle, qui revenait après son service pour s’assurer qu’il avait bien pris ses médicaments, elle, dont il connaissait les horaires par cœur, dont il reconnaissait le pas parmi toutes les autres infirmières du service, elle qui, seule, savait l’apaiser quand il voulait se foutre en l’air… Elle est là, chez lui, comme un cadeau, avec ses petits frisottis sur les oreilles et ses mains fines… et il la démonte en trois phrases… Il balbutie un pitoyable : — Je ne voulais pas vous vexer… Elle esquisse un malheureux sourire. Il a l’air si sincèrement désolé, avec son regard de cocker, elle ne peut pas lui en vouloir ; cette maladresse fait aussi son charme ; cela prouve qu’il n’a pas tellement l’habitude de draguer finalement. Elle laisse tomber la musique, vient s’asseoir à ses pieds, sur un pouf indien et lui prend la main. Elle lui caresse lentement les doigts, un par un. Il lui abandonne sa main, qu’il laisse pendre le long de l’accoudoir. Elle embrasse le bout des ongles, descend lentement, bute un peu sur la jointure des phalanges et continue sa progression jusqu’à se retrouver dans sa paume, qu’il a très chaude. Il a des mains carrées, épaisses. Des mains d’homme. Elle les sent fortes, viriles, protectrices. Elle a besoin qu’un homme dégage cette puissance. Elle s’amuse à apposer ses propres doigts sur les siens et à évaluer la différence ; entre sa grosse paluche et sa menotte menue le contraste ...
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