1. Mon infirmière


    Datte: 17/01/2020, Catégories: f, fh, rousseurs, médical, uniforme, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fdanus, ecriv_f,

    ... est saisissant. Elle sent un frisson qui lui parcourt la moelle épinière. Elle connaît cette sensation, elle est en train de partir… Elle a envie que ses mains la parcourent, l’explorent. C’est soudain une évidence : jupe longue ou pas, slip sexy ou pas, elle est venue pour lui : pour pouvoir enfin se lover contre lui et se laisser aller à son tour… Devenir sa chose, inverser les rôles et le laisser prendre possession d’elle, la dominer. D’une certaine façon, elle connaît son corps par cœur, pour l’avoir si souvent baigné, pansé, huilé… Mais le cadre professionnel, la chambre blanche et l’odeur persistante d’éther ôtait toute idée érotique, ou tout caractère sensuel à la chose. C’est souvent après, le soir dans son lit, ou même déjà dans le métro, sur le trajet du retour, qu’elle pensait à lui… Elle continue à embrasser et caresser sa main. Mais lui se fait plus entreprenant. Elle est si douce, ses baisers sont d’une telle tendresse, il a peur d’être en train de rêver. Alors il ferme les yeux pour prolonger cet univers onirique et il descend sa main libre à la rencontre de son épaule. Il en épouse la rondeur avec d’infinies précautions, il frôle le grain de sa peau veloutée, il voudrait se pencher pour respirer son odeur mais il a peur de basculer, il se contente de caresser tendrement cette épaule gracile. Il ouvre pourtant un œil prudent ; mais la sensation demeure, alors il ouvre les deux yeux et constate qu’il ne rêve pas ; elle est bien à ses pieds. Il voit la racine de ...
    ... ses cheveux et la naissance de la nuque, avec les cheveux relevés. Elle est belle et infiniment désirable. Il voudrait peindre. La peindre. La peindre toute en rondeurs et en courbes : le rond de l’épaule, la courbure de la nuque, il essaye de deviner la chute de ses reins, le plein de ses cuisses. Il a chaud, il ressent des picotements dans la poitrine et ses tétons sont durs et dressés comme de mini sexes en érection. Elle se redresse et se relève. Elle le regarde droit dans les yeux d’une façon qu’il ne lui connaît pas : un peu mutine, un peu mélancolique ; il y a, dans ce regard, de la tendresse, du défi, du désir… C’est fou ce que ses prunelles expriment ; il n’a jamais vu tant d’émotions différentes en un seul regard. Elle défait un à un les gros boutons de son haut noir, en soutenant son regard ; le vêtement tombe dés que le dernier bouton est libéré. Elle porte un soutien-gorge en soie sauvage, couleur pêche, aux motifs fleuris. Il avale sa salive. De jolis tétons pointent sous le tissu clair ; ses seins sont assez ronds sans paraître trop lourds. Elle caresse ses seins à travers le tissu sans baisser les yeux ; elle lui sourit d’un air provocateur. Il sent l’excitation monter encore d’un cran chez lui, en la voyant brutalement si féminine et fière de ses atouts. Elle ondule doucement des hanches, tandis que sa tête part un peu en arrière, dégageant son cou long et fin serti d’un collier de perles blanches ; sa main est descendue le long de son ventre puis a pénétré ...
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