1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (12)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... repartirent vers la terrasse, nous laissant seuls. Charly et moi en profitâmes pour échanger quelques mots : — Alors, Charly, ce jeu te plaît-il ? — Vous êtes complètement barrés dans cette famille, mais quel pied ! J’ai mal au cul : elles me l’ont complètement défoncé ! — Tu l’as dit ; je n’avais jamais pris un truc aussi gros dans le cul. — Et qu’est-ce qu’on est censés faire maintenant ? — À bouffer ! T’as pas entendu ? Nous allons nous lancer dans la grande cuisine. — Attends, j’sais pas cuisiner, moi ! reprit le cousin. — T’inquiète pas, je prends les choses en main. Direction le congélo. En bon cuistot que je suis, pizzas surgelées/micro-ondes feront parfaitement l’affaire. J’en sors trois – une demi chacun, c’est un minimum – un peu de fromage râpé dessus et un passage dans le four pour gratiner ce mets succulent. Reste à espérer que la pizza fasse partie des habitudes alimentaires de son Altesse la reine des Amazones. Les pizzas chantonnent doucement ; le « ding » du four marque la fin de la cuisson. Les galettes italiennes fumantes et odorantes ne demandaient qu’à être dégustées. Déposées sur des assiettes, la roulette et les couteaux en forme de demi-lune décoraient avec élégance les cercles de pâte gratinée ; nous pouvions servir. Nous, maîtres-queux, la queue à l’air et pour une fois pas en l’air, déambulions à la queue leu-leu, les bras chargés des magnifiques mets fumants et odorants. Les trois Amazones avaient revêtu un paréo couvrant leur corps et un ...
    ... minuscule string ; les guerrières, mi-anges mi-démons, étaient encore plus désirables dans cette tenue. Je pouvais distinguer les courbes de leur corps par transparence ; la pointe de leurs seins transperçait presque le tissu, le piercing au nombril de Justine brillait ; je me croyais dans « Schéhérazade ». Cette vision d’un érotisme torride, à damner tous les saints, commençait à me donner des bouffées de chaleur et à nous faire bander. Son Altesse, la reine des Amazones, l’œil critique, nous regardait arriver ; nous déposâmes les royales victuailles sur la table basse, et après la courbette réglementaire nous attendîmes debout, toujours affublés de nos bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et de notre collier de chien et sa laisse. Cette tenue avait l’air de beaucoup lui plaire ; elle me lançait des clins d’œil complices et coquins. S’adressant à nous, elle ordonna : — Nous n’avons plus à boire : allez chercher de quoi nous rafraîchir ! — Vous voulez... tentai-je de demander. — Du champagne, voyons ! Où avez-vous donc la tête ? La boisson servie, elle reprit : — Suivez le chef des mâles, il va vous apprêtez pour la suite ! Papa (le chef des mâles) avait revêtu la tenue réglementaire, c’est-à-dire rien. Il prit les deux laisses et nous tira vers le garage ; une fois à l’intérieur, il fouilla dans son outillage, prépara un pot a priori de peinture et un pistolet à peinture électrique. Je tentai une question : — Papa, qu’est-ce qu’on va faire ? — Tout d’abord, on me dit « ...
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