1. Les Plaisirs du Bourg


    Datte: 19/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Lesbienne

    ... ne suis pas PE-TI-TE, s’exclame-t-elle en tentant de se dresser de toute sa hauteur. Mais la pauvrette n’y parvient pas, stoppée dans son mouvement par un violent élancement au flanc. Kirsten se précipite et la soutient. — L’auberge du Lion d’Or est à deux pas, nous y avons une chambre, nous pourrons t’y soigner et t’y laver, explique la Comtesse en entraînant la blessée.— Je suis grande assez pour me laver toute seule ! Et je vous connais, sous prétexte de me soigner, je vous vois bien profiter de ma faiblesse…— Mais quelle harpie que cette gueuse ! plaisante Kirsten. Nous la soignerons Soren, puis nous la fesserons pour son impertinence ! Escorté par les soldats du guet, le trio entre dans l’auberge proche. — Maître Haberkorn, menez-nous à notre chambre, faites monter des linges propres, un broc de lait, un baquet et de l’eau chaude pour un bain ! Et vite ! En un instant, servantes et marmitons abandonnent leurs tâches et s’activent. Par bonheur, c’est jour de lessive et des marmites d’eau avaient justement été mises à chauffer. Alors que la blessée est installée sur le lit, le personnel va-et-vient pour apporter, qui, le baquet, qui, les linges demandés, le lait ; la brigade des marmitons défile dans la chambre avec des seaux d’eau fumante pour remplir le bain. Mais s’ils sont prestes à entrer, les gamins le sont beaucoup moins pour ressortir de la chambre : sur le lit à courtines dont les rideaux n’ont pas été fermés, Dame Kirsten soigne la couturière ; le sayon déchiré ...
    ... laisse voir ses cuisses et même plus, et les marmitons intéressés reluquent en se poussant du coude. — Non, mais, garnements, s’emporte Sylvette en se redressant et en se couvrant, vous vous croyez à la foire aux bestiaux ? Vous voulez peut-être toucher la bête pendant que vous y êtes ! Allez ouste, chenapans ! Les gamins ne se le font pas dire deux fois et disparaissent aussi vite qu’un vol d’étourneaux. Sylvette repousse sèchement la main de Kirsten qui continue à tamponner sa blessure avec un linge trempé dans du lait. L’estafilade est longue, mais peu profonde. Le sang n’en continue pas moins de perler. Saisissant sa besace, la couturière en extrait une pierre blanche qu’elle passe sur la plaie en grimaçant. — Parbleu, mais que fais-tu donc là, s’enquiert Dame Kirsten.— C’est une pierre d’alun qu’utilisent les tanneurs. Eux la réduisent en poudre qu’ils mélangent à leurs teintures, pour fixer les couleurs. Moi, je m’en sers pour stopper le sang des petites plaies. Ça pique, mais c’est efficace. Alors que Soren, assise près d’elle sur le lit, lui nettoie ses jambes crottées avec un linge humide et s’aventure désormais assez haut sur les cuisses, Sylvette la repousse à son tour et rabat brutalement sa robe en remerciant assez fraîchement l’indiscrète soigneuse. Les deux cousines échangent un regard amusé. — Je ne te voyais pas si prude, s’amuse Kirsten. Ainsi donc, tu nous repousses ? Nous non plus ne pouvons voir tes cuisses ? Cela te gênerait-il ?— Non, bredouille la jeune ...
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